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 And i was gone. (Ezio)

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Romy Pastore

DATE D'INSCRIPTION : 22/08/2015
MESSAGES : 432


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MessageSujet: And i was gone. (Ezio)   And i was gone. (Ezio) EmptyMar 8 Sep - 21:37

EZIO & ROMY

“Sometimes the dreams that come true are the dreams you never even knew you had.”





Les couverts qui s'entrechoquent dans une mélodie hasardeuse. La vaisselle qu'elle dépose dans l'évier. Il n'y a rien de pire que ce silence. Il l'étouffe, la ramène dans un passé encore trop douloureux. Romy n'est pas heureuse d'être ici. Elle n'est pas heureuse de voir sa mère. Il n'y a rien plus entre les deux femmes. Il n'y a jamais rien eu. Un amour maternel discret. Les seuls gestes de tendresse dont la gamine se rappelle remonte à bien des années, quand sa mère lui peignait les cheveux avant d'aller se coucher. Distance imposée par le père dont la présence reste encore accrochée à ce lieu. Son parfum qui traverse les airs pour faire peser sur les épaules de Romy de lourds souvenirs.  Les marches qu'elle monte deux par deux à la recherche de sa mère. Les sanglots qu'on essaye d'étouffer dans le tissus. Ceux d'une femme qui a perdu l'amour de sa vie. La jeune Pastore aimerait pouvoir la réconforter, la prendre dans ses bras et lui dire que tout ira bien, mais elle en est incapable. Elle ne sait pas comment faire, on ne lui a jamais montré. Ses ongles qui raclent la porte de la chambre puis la poignée qu'elle fait tourner sans jamais aller jusqu'au bout. On t'a déjà dit de ne pas entrer dans une chambre sans y être invité! La gamine effrayée par les paroles de son père se recule avant de dévaler les escaliers. Il l'obsède, malgré les jours, elle ne cesse d'entendre sa voix la réprimander. La porte qu'elle ouvre en toute hâte pour fuir cette atmosphère écrasante. Après avoir fait les cent pas et reprit ses esprits, Romy s’assoit sur le perron. Elle ne peut pas partir, pas comme ça, sans prévenir sa mère, surtout qu'il y a encore ses affaires dans le salon et la vaisselle à faire. Elle ne se sent pas encore capable d'entrer à nouveau dans la maison, persuadée qu'il l'attend derrière la porte. Romy sait que son père est mort, elle l'a vu mourir, mais son esprit ne veut pas le laisser partir. Elle le recrée de toute pièce, le rendant plus épouvantable et plus vulgaire. Il est devenu un des personnages de son petit monde.
La nuit qui s'est installée depuis quelques heures est magnifique. Son imagination divague d'une idée à une autre. D'un univers à l'autre. Ce soir il n'y a pas spécialement de contexte, les souvenirs se mêlent aux rêves. Rien de trop sanglant, rien de trop magnifique. Elle est épuisée par le dîner. Pas par la conversation car il n'y en a pas eu, pas un seul mot échangé durant les quelques minutes où elles étaient à table. Romy ne sait pas réellement pourquoi elle s'obstine à revenir ici, à passer du temps avec cette mère qui n'a jamais voulu d'elle. Sans doute pour faire plaisir aux monstres. Elle est tellement mieux dans son petit appartement, sous les draps. Seule avec son imagination. Même le repas n'était pas génial, légumes trop cuites, viande pas assez. Le vin a été le seul avantage de cette soirée, enfin, pour le moment. Romy ne regrette pas d'avoir quitté ce quartier, cette maison, cette femme. Elle est même heureuse en y repensant, rien de bon ne pouvait lui arriver ici, sauf peut-être lui. Cet homme, celui qui ne l'avait jamais réellement regardé alors qu'elle le dévorait des yeux. Crush d'adolescente qui persistait. Homme inaccessible jusqu'à cette soirée. Il lui a offert la possibilité de se venger des monstres sans le savoir. Occasion importante surtout que ça permettait à Romy de se rapprocher de lui, d'exister l'espace d'un instant en tant que femme. La possibilité de fuir s'était ensuite présentée à elle. Ne pensant être qu'une parmi tant d'autres pour Ezio, la jeune femme était partie sans même se retourner, sans même l'attendre. Il lui arrivait encore de penser à lui, à cet instant où il avait fait d'elle une femme. Elle terminait toujours par imaginer le moment où elle mettrait les monstres au courant, détruisant tout sur son passage. Un sentiment de puissance l'envahissait alors, oubliant les répercussions que cette annonce pouvait avoir sur Ezio. Il n'était pour le moment qu'un dommage collatéral. Un homme qui paierait pour les erreurs des autres. Il ne méritait pas qu'elle l'épargne. Il avait couché avec elle puis n'avait plus donné aucune nouvelle. Il souhaitait sans doute oublier cette nuit et Romy le comprenait.  La jeune femme n'est pas de celles dont on se vante. Elle ne fait pas rêver. Son regard sur l'astre de la nuit, elle ne fait pas attention à la silhouette familière qui se rapproche d'elle.


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MessageSujet: Re: And i was gone. (Ezio)   And i was gone. (Ezio) EmptyVen 11 Sep - 0:45

Son bolide parcourait Florence à toute allure, filant entre les bâtiments qui réverbéraient leurs lumières sur la tôle brillante du véhicule, lui donnant un aspect mystique, presque irréel. Les yeux rouges rivés sur la route, il roulait en silence depuis le coucher du soleil, sans but, sans destination et avec une seule certitude : ce soir encore, il ne dormirait pas !

Cinquante-deux heures ! Un nouveau record dont il pourrait se vanter, si tant est que l'on puisse tirer une quelconque fierté à ne pas réussir à trouver le sommeil depuis plusieurs jours. Cinquante-deux heures sans arriver à s'endormir, cinquante-deux heures à tourner dans son lit en priant que Morphée nous tende les bras, à voir le temps défiler et s'étirer inlassablement, à perdre de l'emprise sur ce dernier alors que la fatigue nous tiraille, que nos sens s'émoussent au même titre que notre patience et notre joie de vivre. Le corps lourd, les yeux cernés et la respiration lente, partagé entre l'évanouissement et la lutte inconsciente pour rester debout : rien n'avait été plus horrible pour Ezio que ces cinquante-deux heures d'insomnies provoquée par son propre esprit, véritable auto-sabotage et sur lequel il n'avait aucun contrôle. Trop de déceptions, trop de contradictions qui tourmentaient son esprit et rendait chaque tentative d'assoupissement dramatique : visions d'horreurs, souvenirs idylliques et dont on l'avait subitement privé, dépravation de son âme avec des succubes qui n'avaient été que des substituts pour son désir le plus profond, il avait bien compris qu'il n'arriverait à rien s'il ne se vidait pas clairement l'esprit. Il avait fini par prendre le volant de sa belle Alpha Romeo, le seul refuge dans lequel il avait l'impression d'être à l'aise, conduisant des heures durant sans se soucier de l'essence dépensée ou des kilomètres parcourus tant que ça lui permettait de faire le point. Se concentrer sur la route, sur les sensations que procuraient la conduite : voilà bien le seul exutoire qu'il possédait aujourd'hui.

Mais même la plus fantastique évasion de l'esprit reste éphémère lorsque l'angoisse et l'obsession guettent avidement dans l'ombre et il ne fallut pas longtemps à Ezio pour être rattrapé par ses travers les plus sombres et les plus pervers. Inconsciemment, il avait conduit jusqu'au quartier de son enfance, ses mains poussant le volant à le guider à quelque mètres de la demeure des Pastore, cette famille qui avait tant d'importance dans sa vie, celle-là même qui lui avait offert ses plus beaux moments mais qui aujourd'hui était la cause de ses vices les plus inavouables. Il ne savait exactement quel chemin il avait emprunté pour finir là, toujours est-il qu'il gara instinctivement le véhicule sur le côté et coupa le contact, s'enfonçant dans son siège en silence, les yeux rivés sur le perron de la maison. Ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça et ce ne serait certainement pas la dernière d'ailleurs : parfois, lorsqu'il ne trouvait pas le sommeil, lorsqu'il était trop obsédé par Romy pour faire autre chose, il venait ici, restant dans l'ombre à l'abri dans sa voiture, à regarder la porte d'entrée comme s'il espérait la voir sortir. Loisir malsain, occupation perverse et digne des psychopathes les plus dégénérés, c'était malgré tout le seul moyen qu'avait trouvé le policier pour se détendre et trouver le sommeil. Plus d'une fois il s'était réveillé à l'aube, assoupi dans sa voiture, les premiers rayons de soleil venant le tirer de ses songes et le priver d'un sommeil dont il avait bien besoin. De temps en temps, il voyait la mère des Pastore passer devant la fenêtre, se dissimulant un peu plus pour ne pas qu'elle reconnaisse son visage. Jamais en revanche il n'eût la chance de revoir la seule personne qui attisait son intérêt dans le coin...

… Sauf ce soir-là. Alors qu'il était là depuis déjà un bon quart d'heure, les bras croisés et le poste radio jouant très doucement un classique de Tchaïkovski, il la vit ! Belle, séduisante, plus parfaite encore que dans ses souvenirs. Tout d'abord, il crût rêver, pensant que la somnolence dont il était la cible depuis quelques minutes déjà avait eu raison de lui et qu'il était en plein fantasme, le côté irréel du spectacle étant accentué par la mélodie guillerette de la Valse des fleurs qui trahissait parfaitement ce que ressentait son cœur. Puis, voyant que manifestement il était encore bel et bien éveillé, son sang de fit qu'un tour et l'adrénaline acheva de chasser l'engourdissement qui alourdissait son corps. Il n'avait plus sommeil, ne ressentait plus la douleur de son dos ni celle de la dépression : à la place, une énergie nouvelle circulait dans ses veines, le poussant à se redresser sur son siège pour mieux profiter de ce spectacle qui s'offrait à lui. Il aurait pu sortir pour se précipiter vers elle, mais il n'en fut rien. A la place, il la contempla en silence depuis sa voiture, les poings serrés et la respiration lente. L'excitation était à son comble, lui donnant la chair de poule alors qu'il ne pouvait la quitter du regard. Oui, elle avait été la seule à lui faire ressentir ça, à animer chez lui les instincts les plus primaires et les sentiments les plus forts. Mais alors que les secondes s'écoulaient, le désir et la fascination qui avaient pris possession de lui s'estompèrent, laissant place à une émotion bien plus floue : l'incompréhension. Que faisait-elle là ? Pourquoi avoir fuit si c'était pour revenir des mois plus tard comme si de rien n'était ? Ses pensées se brouillèrent, mêlant alors la colère, l'attirance et l'amertume dont il faisait preuve cet instant, le poussant finalement à sortir de son véhicule, prêt -ou presque- à une confrontation qu'il attendait depuis si longtemps.

Droit à côté de sa portière ouverte, les yeux rivés sur le pas de la porte des Pastore, Ezio inspira profondément avant de claquer la porte de sa voiture, avançant lentement vers celle qui avait radicalement changé sa vie. Il était vêtu d'un simple jean et d'une veste en cuir, la mine marquée par l'insomnie et les traits déformés par l'étonnement :

« Pourquoi ? »

Seuls mots qu'il réussit à prononcer à l'égard de la jeune femme qui, si elle n'avait peut-être pas aperçu encore ou reconnu son ancien amant, était maintenant clairement interpellée. Le poing serré, les yeux se plissant un peu comme si cela allait l'aider à mieux distinguer les traits de la belle italienne malgré l'obscurité de la nuit, il fit encore quelques pas jusqu'à se retrouver sur le bord du trottoir, face à la porte d'entrée :

« Pourquoi es-tu ici ? Tu es partie sans rien dire... Comment peux-tu revenir ici ? Maintenant ? »

Il avait longtemps imaginé ses retrouvailles avec la demoiselle, avait fantasmé plus que de raison le jour où il pourrait de nouveau l'étreindre, l'embrasser, l'aimer. Mais comme souvent dans ce cas là, il avait omis que contrairement aux films, les rencontres de ce type étaient bien plus dures et rudes que ce que l'on voyait dans les films. Il aurait aimé lui dire qu'il bouillonnait de sentiments à son égard, qu'elle lui avait manqué, qu'il ne rêvait que d'elle. Mais à la place, il laissa un ton dénoué de toute intonation prononcer ce qui serait les premiers mots qu'ils s'adresseraient depuis l'enterrement du père Pastore, depuis leur histoire interdite et irrésolue. Il ne serait pas question d'amour finalement : il avait besoin d'explications !
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Romy Pastore

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MessageSujet: Re: And i was gone. (Ezio)   And i was gone. (Ezio) EmptySam 12 Sep - 19:52

EZIO & ROMY

“Sometimes the dreams that come true are the dreams you never even knew you had.”





Ronde et lumineuse. La pleine lune éveille l'imagination de la jeune Romy. Les hommes se transforment en loups dans un cri de douleur. Les os se brisent et la chair se déchire pour laisser apparaître un nouvel être monstrueux. Beauté d'une transformation éphémère et dangereuse. La véritable nature de l'Homme se dévoile la nuit. Les masquent tombent quand la fatigue prend le dessus. Les langues se délient alors que les regards changent. Plus sombres, plus froids, plus vrais. Ce n'est pas un hasard si cette période est la préférée de Romy. Entre le crépuscule et l'aurore. Quand elle peut inventer sans être gênée par la réalité qui l'entoure. Quand elle peut être elle-même. La jeune femme n'est pas un loup, pas encore, pas totalement. Sa nature exacte reste encore un mystère, à mi-chemin entre le bon et le mauvais. Sa transformation n'est pas complète, il est encore possible de changer les choses. Il suffit d'un sentiment plus fort que l'appel du sang. Celui du cœur. Les pensées occupées par l'organe qui bat, à un tel point qu'il est impossible de songer à autre chose. Passion qui rend la vie plus séduisante que la mort. Attachement à fuir pour celle dont la nouvelle liberté est encore précaire. L'amour inconnu effraie l'enfant, elle ne sait pas ce que ça signifie. Son cœur ne bat que pour sa volonté de vivre, d'expérimenter. Ses pensées vont vers son monde merveilleux où les ténèbres rencontrent son innocence. La vie prend toujours un malin plaisir à déjouer les plans des mortels.  Romy se surprend à rêver d'autres choses. Quelqu'un pour être correct. Le seul qui nourrit ses pensées les plus intimes depuis son adolescence. L'homme inaccessible, pensait-elle jusqu'à cette fameuse soirée. Aussi calme et belle qu'aujourd'hui. La voix familière sort la rêveuse de son monde où les loups parcourent les ruelles sombres à la recherche d'un repas. Un sourire illumine son visage en voyant Ezio. Romy est heureuse de le voir et même si il est difficile pour elle de l'avouer, son homme parfait lui a manqué. L'envie de s'approcher de lui est présente, mais elle n'ose pas. Les retrouvailles prennent un tournant inattendu. Questions qui résonnent comme des critiques pour Romy. Elle perd son sourire pour laisser place à l'incompréhension. Elle ne comprend pas pourquoi il lui demande cela. Elle qui se pense encore insignifiante pour lui. Juste l'histoire d'un soir. Une erreur de parcours. « Pardon ? »   La jeune femme se lève. Déjà oublié les belles pensées, tout se bouscule à l'intérieur. Les contradictions perdent la gamine. Différence entre ses idées et les paroles de son homme parfait. « Je ne comprends pas, Ezio. »  Bras croisés et plaqués contre la poitrine, son regard erre au loin pour éviter les yeux de ses fantasmes. « C'est juste un dîner, j'ai encore le droit de manger avec ma mère. »  Elle ne veut pas comprendre la signification des questions. Romy préfère contourner le sujet. Elle déteste les confrontations, surtout quand ça concerne ses sentiments. « Ezio, je ne comprends pas pourquoi tu me demandes ça. »   La répétition qui trahit sa gêne. Elle n'est pas aussi stupide que les autres peuvent penser même si elle aime agir ainsi. Elle comprend parfaitement l'objet de la discussion, mais la chose qu'elle ne comprend pas, c'est le comportement d'Ezio. Pourquoi agit-il ainsi ? Lui qui ne la voyait pas. Il était juste question de politesse avant la mort du père et aujourd'hui il lui demande des explications. Frontière passée peut-être un peu trop rapidement pour l'esprit fragile et embrouillé de la jeune femme. Il n'est pas aisé de passer de rien à tout. « Que voulais-tu ? »  Le regard perdu qui se pose naturellement sur lui. Ses doigt pincent le tissus de son chemisier, c'est le meilleur moyen pour elle de garder son calme et de ne pas fuir cette conversation. « Tu voulais que je t’appelle ? Que je te prévienne ? Pourquoi ? »  Romy a aussi besoin de réponses, surtout maintenant. Elle qui pensait continuer à vivre comme si rien ne s'était jamais passé entre eux. « Si tu veux savoir, j'ai prévenu personne, c'était la seule façon pour moi de... »  Le silence qu'elle laisse s'installer pour ne pas dire le mot de trop. Fuir est le verbe le plus adapté de son point de vue, mais il semble très fort pour les autres. Elle ne veut pas non plus lui laisser penser qu'il est la cause de son éloignement. « Si tu es ici pour que je te dise  que ton petit secret est à l'abri, tu peux être rassuré. »   Changement de conversation, de cible comme elle sait si bien faire. Romy fait d'Ezio ce qu'il n'est pas pour se dédouaner. « j'ai autant à perdre que toi, voir plus dans cette histoire. »  La vérité qu'elle ne veut pas, qu'elle transforme comme son petit monde pour lui plaire. Cette façon de voir lui semble plus réaliste. Ça contrarie beaucoup moins sa vision des choses et ses certitudes. Intelligence qu'elle utilise de la pire des manières. La gamine manipule la conversation pour ne pas lui laisser l’occasion de faire d'elle la coupable.  Elle fait son maximum pour retarder la tornade qui risque de tout ravager. Romy s'efforce d'être froide alors qu'elle souhaite juste se rouler en boule pour oublier les paroles qu'elle regrette déjà. «Je ne suis pas venue ici pour te contrarier. » Voix plus douce, la vérité qui s'entend. Elle ne veut pas le blesser, lui, son homme parfait. Elle ne supporterait pas de le voir lui tourner le dos et s’éloigner. Ezio pourrait rendre cette soirée tellement plus belle, même si le chemin qu'ils semblent prendre, par la faute de Romy, risque de les mener vers la solitude.  


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