from the second that I was born it seems I had a loaded gun (mattia)

Mattia avait le cœur pur de ces enfants ingénus qui pleurent au vent. Désireux de devenir un pianiste d’exception il passa son enfance à s’entrainer. Doté d’un talent remarquable, il s’imaginait déjà sortir de la prison dans laquelle l’avait enfermé son nom de famille. Avant même d'avoir de la barbe au menton on lui donna un choix, rester ou partir. Disparaître aux yeux des siens en s’affichant au monde ou s’agripper à cette famille qui lui avait offert un empire de vent et de poussière. Le choix ne fut pas sien lorsqu’à quinze ans un accident lui brisa le poignet droit, ses rêves de musique et de gloire. Il reste un talentueux pianiste, mais ce n’est plus les touches noires et blanches qu’il caresse avec une ferveur religieuse désormais. .01 Extrêmement croyant, Mattia est persuadé que son grand-père le surveille depuis là-haut. Il sait qu’il devra se repentir et expier ses pêchers avant de pouvoir faire face à son créateur un genou à terre et une main sur le cœur. Ça ne l’empêche pas de prendre les armes un chapelet ayant appartenu à son grand-père toujours enroulé autour de son poignet. Il croit que la mort n’est pas la fin et ne craint pas son arrivée. La seule chose qu’il craint c’est l’heure où il faudra rendre des comptes. Tant qu’il est encore en vie, il peut se cacher derrière ses excuses. Il peut se dire qu’il fait ce qu'il fait pour sa famille, pour honorer ses parents et ce nom qu’on lui a légué, une fois là-haut il ne pourra plus fermer les yeux sur la vérité de sa situation et la liste de ses péchés. En attendant, il se flagelle mentalement et physiquement en espérant que la douleur l'aidera face au jugement dernier. .02 Entrainé sans aucune douceur par son père, mais surtout ses plus fidèles proches, Mattia sait parfaitement se servir d’une arme. Plus que de savoir se servir d’une arme, il connait tous les éléments la composant, comment la démonter et la remonter en un instant. Son père lui a d’ailleurs offert un Colt 1991 à ses dix-huit ans. Depuis, il ne se sépare plus de son arme et n’est pas du genre à hésiter à s’en servir. Malgré ses connaissances approfondies des armes et les désirs de son père, Mattia n’est pas vendeur d’arme. Le jeune Masaccio est la main armée de son père. Petit soldat de plomb le cœur à jamais en muselière alors que ses poings sont prêt à faire ce qu’il faut. L’italien aime à d’abord se frotter les phalanges contre les ennemis de sa famille. S’user les poings en goutant à l’amertume de ses ennemis en les forçant à abandonner tout de leur superbe pour qu’il obtienne le fruit de ses désirs.  Mattia est prêt à faire tout ce que son père lui demande, ce que ce dernier apprécie fortement. .03 Est souvent considéré comme le petit prince de la famille. Dernier de la fratrie, Mattia a été souvent bousculé pour son âge. Toujours un enfant naïf lorsque l’ainé de la famille entrait dans l’adolescence, il fut confronté à la réalité de son monde bien trop tôt. Peu désireux de protéger le cadet des noirceurs de la nuit, le patriarche de la famille ne l’épargna pas, jamais. Il appris très jeune quel était la couleur du sang et le goût de la poudre. En contrepartie, sa mère n’eut de cesse de le surprotéger, le couvrant de cadeau et le pourrissant jusqu’à la moelle comme s’il était un cadeau envoyé par les cieux. Presque vénéré par sa mère et sa grand-mère qui voyaient en ses traits angéliques la promesse d’un futur délicat pour l’enfant, il ne sut pourtant ignorer le destin lui étant promis. Aujourd’hui encore presque toutes les femmes de sa famille lui passent tous ses caprices. On ne refusait jamais rien au petit prince possédant ce sourire trop grand. Même lorsque la noirceur de son âme commença à fissurer son masque de douceur dévoilant la laideur se cachant sous les traits. .04 Son caractère emporté empêche souvent le brun de prendre les bonnes décisions. Cependant, il ne déçu qu’une fois son père, incapable d’oublier cette leçon gravée dans sa chair au fer rouge. La famille passe avant tout. Avant lui. Avant ses désideratas. Avant son amour propre et son orgeuil. Rien n’est supérieur à la famille. Mattia le sait. Mattia le croit. Mattia n’a plus jamais rien fait allant contre ce leitmotiv depuis que son père l’enfonça profondément dans son crâne. Il lui arrive encore de se battre pour un rien, oublier son sang-froid et derrière lui un visage indistinct dont les tuméfactions empêchent la reconnaissance. Il ne mettra, néanmoins, jamais sa famille en péril à cause de son orgueil ou de son caractère trop vif. .05 Avec la vie dissolue qu’il mène, Mattia dort très peu. Ne trouvant aucun réconfort dans les rêves carmin peuplant son sommeil, il a depuis longtemps fait le deuil d’un quelconque sommeil réparateur. Il passe ses nuits à arpenter les ruelles de cette cité damné ou à attendre que résonne un cor lançant le début de la chasse pour ce loup affamé qu’il est. Des jours, il fuit les rayons du soleil. Ame éternelle condamnée à s’épanouir dans les ombres de la cité. Il déteste le soleil ardent qui bien trop souvent brule ses rétines alors que l’obscurité apaise les derniers remords éprouvés par son cœur. Il aime la pluie et ce don que celle-ci à de laver les âmes des naufragés implorant le pardon des cieux. Il aime l’opulence, la richesse dans laquelle il a été éduqué. Il aime montrer qui il est à coup de vêtements chics et de manière que personne ne peut imiter. C’est un naturel, un de ces enfants né dans l’opulence qui d’un regard semble juger le monde de leurs iris vident d’émotions. Pourtant, Mattia valorise les enfants de rien. Ces gamins paumés qui, entre de bonnes mains, deviennent les balles de son revolver. Plus que de valoriser les origines, à l’image de son paternel, il valorise le travail dur et s’esquinte tout autant que les âmes qu’il manipule sans remords. .06 Possède une Ford Mustang de 1964 noir qu’il vénère et entretien lui-même. Il aime tant cette voiture qu’il paraît qu’il aurait abandonné un corps presque sans vie aux abords de la ville après un accrochage entre sa voiture et une moto. En effet, Mattia déteste qu’on abime ses jouets. Il déteste qu’on lui emprunte et qu’on puisse s’imaginer s’en sortir impunément. Le châtiment est à la hauteur de l’affront selon le brun.  .07 Fume de trop selon ses proches qui le voient consumer cigarettes sur cigarettes. A croire qu’il essaye de noyer les ombres de son crâne sous la fumée de ces clopes hors de prix qu’il consomme. Etre fait d’habitudes, il commence toujours ses journées par une clope et un jogging. Il aime lorsque les choses se passent comme prévues et va aisément en dehors de ses plans pour que tout soit parfait.  .08 Perfectionniste maladif, il ne s’accorde jamais aucun crédit. Ce qui, malgré un orgueil étouffant, le rend extrêmement modeste. Il sait sa valeur, mais n’ira jamais fanfaronner en se vantant de ses exploits. Extrêmement précautionneux et précis, il déteste lorsque les choses ne sont pas faites correctement. Il est d’ailleurs exécrable avec ses inférieurs si ceux-ci ne réalisent pas le moindre de ses désirs de manière impeccable. .09 Même si sa famille considère qu’il possède du talent pour les affaires familiales, Mattia est un peu anormal. Il prend un plaisir pervers à se défouler sur les personnes ramenées jusqu’à sa boite, maigre empire en comparaison à celui de son père. Le brun a toujours trouvé une certaine beauté dans les corps blessés, une certaine beauté dans le dernier souffle d’un homme dont la vie s’échappe. A ses yeux, ce qu’il fait c’est de l’art. Un art souvent incompris, mais un art quand même. Personne ne réfréna jamais cette tendance chez le jeune Masaccio. Chose qui laissa le brun s’enfoncer dans ses travers et rendre ses goûts douteux encore plus omniprésent. Jamais jugé par les siens, tant qu’il réalise le boulot qui lui est demandé personne ne se mêle de ce qu’il fait ou comment il le fait.  .10

Les doigts du jeune Masaccio glissaient le long des touches du piano avec une grâce sans limite. Les yeux clos, le jeune garçon arrachait des notes mélodieuses à l’instrument, donnant à cette fin d’après-midi étouffante des airs d’éternité. Un léger sourire aux lèvres, il jouait ce que son cœur ressentait. Caressait les touches sans réfléchir à ce qu’il cherchait à exprimer. Voilà ce à quoi il aspirait, le calme et la sérénité. Trouver un moyen de faire taire le vacarme de ses pensées. Mattia était encore jeune, trop selon sa mère que pour affronter la dureté du monde. Elle avait réussi jusqu’alors à  se faire bouclier protecteur pour son petit dernier, le couvant plus qu’un futur homme de sa trempe aurait dû l’être. Le gamin aurait dû savoir que ce genre de choses ne durait pas. Qu’il avait trop longuement vécu sur des rabais de la vie, espérant passer entre les mailles du filet. Il aurait du savoir, il aurait dû se douter  que rien ne pouvait le protéger du tumulte provoqué par ses démons. Il aurait dû voir le diable penché par-dessus son épaule prêt à le pousser dans la mauvaise direction. Le bruit du plancher qui craqua dans le dos de Mattia arrêta ce dernier. Il savait que sa mère se serait arrêtée à sa porte et qu’il n’y avait qu’une personne pour s’introduire ainsi dans son sanctuaire personnel sans se soucier de le déranger autre que son père, ce dernier trop occupé. Une main ferme vint s’abattre sur son épaule alors que l’autre main de son oncle alla ébouriffer la tignasse mal coiffée du brun. « Comment se fait-il que tu te caches dans cette pièce en permanence mon neveu ? Le monde dehors ne va pas t’attendre. » Retirant soigneusement ses doigts des touches du piano que son père lui avait offert il y a bien longtemps, Mattia planta son regard dans celui du frère de sa mère avant de lui sourire doucement. Sans le savoir, au fond de lui, le jour et la nuit se défiait dans une bataille sanglante afin d’obtenir la dominance du cœur de ce presque enfant. « On dirait que tu as une idée derrière la tête Luca. » Un sourire bestiale étira les lèvres de l’homme au cœur animal. Celui qui longeait les murs et se repaissait en gardant son corps à jamais dans les ombres. Mené par les mains fermes et fortes de son oncle, le jeune italien n’avait pas idée de ce qui se tapissait dans l’ombre, de cette épée de Damoclès reposant au-dessus de son cou sans qu’il ne l’imagine.
La première fois que la portière se referma sur la chair tendre de son poignet, Mattia n’eut pas même la force de crier. La douleur que le brun ressentait était complète. Alors que ses os se brisaient, l’adolescent sentait ses rêves s’écraser au sol dans un bruit sourd que lui seul pouvait entendre. Il voyait son futur partir en fumer lorsque cet étranger continua à son œuvre, une fois, deux fois, trois fois… Les paroles de son agresseur ne lui parvinrent même pas aux oreilles, trop choqué par la réalité de sa situation. Il n’avait même pas besoin de sentir la douleur pour savoir qu’il ne jouerait plus jamais aussi bien. C’était inscrit dans sa chair au fer rouge. La marque de cette infamie, la marque de ce vol qui avait été commis à son égard. Puis tout s’arrêta. La portière cessa de bouger, son assaillant cessa de parler. Allonger à même le sol, ses vêtements soigneusement choisis complètement fichu, le garçon hésita un instant à lever les yeux. Il pouvait entendre le souffle d’une vie s’échapper difficilement d’une gorge qu’on étranglait sans douceur. C’est sans effroi qu’il vit son oncle, les extrémités d’un câble en métal entre les mains, en train d’étrangler celui qui venait de faire s’effondrer le château de carte du petit prince. De lui briser les os comme il avait brisé ses rêves, sans aucune hésitation, sans raisons. « Tu n’aurais jamais du poser tes mains sur mon petit prince. Quand tu verras le patron là-haut, dis-lui que c’est Luca Conte qui t’envoies. » Le regard obnubilé par cet homme aux traits plus proches de la bête sur le point de se repaître que de l’humain, Mattia était incapable de détourner les yeux de ce spectacle morbide. Le Masaccio ne cria pas, ne pleura pas lorsque le corps sans vie s’écrasa au sol dans un bruit sourd. Au contraire, il senti une certaine satisfaction à voir celui qui venait de détruire sa vie mourir devant ses yeux. Il aurait aimé l’enterrer lui-même, salir son nom à jamais et le faire souffrir comme lui allait souffrir en perdant le pouvoir qu’il avait sur sa vie. « Mattia, prend ça et montre-moi ton poignet. » Se perdant dans l’océan des yeux de Luca, Mattia s’agrippa à la clope que ce dernier venait de lui poser entre ses lèvres comme s’il s’était s’agit d’une bouée de sauvetage. Tirant une longue taffe amère, le gamin fut pris par une quinte de toux. Il avait souvent vu son oncle fumer ces choses infâmes sans jamais désirer s’adonner à ce vice. Cependant, cette nuit-là le monde avait perdu son sens. A croire que la planète avait cessé de tourner. Il pouvait s’agripper à ce cylindre mortelle quelques secondes de plus, fermer les yeux, allongés contre cette voiture, alors que Luca s’occupait de tout. C’était son boulot à Luca, ce qu’il avait toujours fait. S’occuper de lui et de sa vie, s’assurer qu’il ne faisait pas les mauvais choix. Mattia n’avait pas idée des choses que son oncle était prête à faire pour lui. Il ne se doutait pas de la noirceur de son âme et de cet abime sans fond dans lequel il était en train de plonger.


Quelque part au fond de cette nuit sans fin, le petit prince avait perdu de sa superbe. L’enfant élevé dans les écoles les plus prestigieuses, le gamin qu’on avait protégé de tout, même de la vie, avait décidé de prendre sa revanche sur celle-ci. Il avait retrouvé la chienne, celle-ci même qui vous prend un soir, vous baise toute la nuit avant de vous abandonner au réveil, vide, perdu et sans rien pour vous réanimer. Il l’avait trouvée et lui avait fait gouter ses phalanges. S’acharnant sur chaque visage lui rappelant cette chaude journée d’été où cet enflure lui avait brisé ses rêves. Il leur avait fait bouffer ses phalanges à ces inconnus osant s’opposer à sa famille. Encore et encore, sans jamais hésiter. Le colt rangé dans son étui de poitrine, le brun fixait l’homme lui faisant face. Installé à son bureau, il observait son opposant comme s’il s’était s’agit d’un animal. Mattia pouvait presque goûter à sa peur depuis sa place. Il pouvait sentir sa sueur et ce mélange répugnant de terreur et d’abandon de soi. Le Masaccio le sentait et ça lui donnait d’autant plus envie de laisser parler la fureur de son cœur. S’abandonner le temps d’un instant à cette rage qui bouillonnait en permanence dans ses veines. A la place de quoi, comme il l’avait vu faire cent fois par son oncle, il s’alluma une cigarette nonchalamment. « J’ai entendu dire que tu as essayé de rouler ma famille. » Tirant une taffe sur sa clope, il se leva, lissant du dos de sa main un mauvais pli de son costume hors de prix. Un léger sourire aux lèvres, le brun avait l’air d’un ange. Un ange de la mort prêt à faire son office. « Tu sais qu’on aime pas trop les tentatives de doublage chez moi ? » Une main posée sur la nuque de cet homme déjà au bord des larmes, Mattia pouvait sentir la puissance qui s’était mise à couler dans ses veines. Avoir un pouvoir total sur la personne vous faisant face était un sentiment enivrant. Une dose d’héroïne directement injectée dans le cœur. Plus le temps passait et moins le brun était prêt à se priver d’une telle jouissance. Trainant l’anonyme à travers la pièce, il se fichait de ses excuses et ses supplications. Ce n’était pas n’importe qui que cet idiot avait tenté de doubler. Il ne s’était pas juste attaqué à un gros poisson dans une petite mare, il s’était attaqué à une horde de requin qui n’y pensera pas à deux fois avant de le croquer. « Tu as de la chance que mon père a décidé de t’épargner, même si ça ne m’empêchera pas de jouer. » Conservant ce sourire suintant une pureté qui avait depuis longtemps quitté le cœur du brun, il ne sourcilla pas lorsque la lame de la machine coupe-papier s’arrêta net sur l’os. La clope au bec, une main sur l’épaule de la chose ensanglantée qui avait cessée de supplier, il s’acharna sur son bras quelques instants. Ce n’est qu’une fois son œuvre accomplie, qu’une fois que son tableau carmin prit forme à ses yeux qu’il cessa. Lâchant le laquait qu’il venait de remettre à sa place, son sourire angélique avait pris des allures démoniaque accompagnée d’un coup de pinceau rouge vermeille. Pourtant, malgré le sang tâchant ses vêtements, rongeant les démons s’agitant sous sa peau, la flamme avide et tordue dans son regard ne s’était pas éteinte. Rien ne pouvait venir étancher la soif de souffrance que possédait le brun. Rien ne pouvait apaiser les démons affamés guidant sa main et chantant des berceuses à ses oreilles. Coinçant sa clope presque achevée entre ses doigts, il retourna s’asseoir à son bureau sans se soucier du sang s’écoulant sur le sol. Il se contenta de poser ses pieds sur son bureau, s’enfonçant plus profondément dans son siège avant de crier assez fort : « Que quelqu’un vienne nettoyer ce bordel ! » Le petit prince avait bien changé. Ses idéaux pareils aux blanches colombes étaient retombés dans ses mains les ailes brulées. Il avait goûté à la noirceur qui s’infiltre sous la peau, avait senti la saleté se caler sous ses ongles. Le petit prince avait bien changé. Son royaume fait de rose et d’épis de blé s’était transformé en un champ de bataille ou seul le sang pouvait être récolté sous les impacts de balles.

<- ma réaction à la lecture de ta fiche. J'aime énormément ce que tu as fait de ce petit Mattia, et surtout ta plume, ta façon de présenter la violence qui reste clinique, à donner des frissons, c'est vraiment superbe. La scène où il se fait briser le poignet  . Scène qui fait écho à la dernière, où c'est lui qui prend le dessus  . Un beau personnage que voila, petit prince déchu  

Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pour ce faire, tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu.