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 Franco Callini - Music is a way of being

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Franco Callini

DATE D'INSCRIPTION : 30/10/2015
MESSAGES : 73


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MessageSujet: Franco Callini - Music is a way of being    Franco Callini - Music is a way of being  EmptyVen 30 Oct - 10:48


Franco Callini
Hear my silent voice, i'm begging you



NOM : Callini▲  PRÉNOM : Franco ▲ ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : 38 ans, le 07/09/1977 ▲  STATUT CIVIL : Célibataire ▲ ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel ▲ METIER : Professeur particulier de Piano, Pianiste de renom ▲SITUATION FAMILIALE : Orphelin de père, sans enfants ▲ TRAITS DE CARACTÈRE : Intelligent, observateur, hypersensible, zélé, discret, instable, étourdi, influençable, maladroit, anxieux▲ GROUPE :Keep the streets empty▲ CRÉDITS : consummecadavres


1) Le corps de Franco est recouvert de cicatrices et de brûlures, infligées par sa mère. Seuls son visage et ses mains ont été épargnés.

2) Il est presque aveugle sans ses lunettes. Il ne les quitte donc jamais, excepté pour dormir.

3) Il est maniaque : le moindre désordre, en particulier à son domicile, lui cause de l'angoisse.

4) Il fait partie de la classe aisée : son talent reconnu lui vaut de remplir des salles de concert et il est payé grassement pour enseigner le piano.

5) Il est passionné de littérature classique : ses étagères sont emplies de livres anciens, datant de toutes sortes d'époques. Il n'éprouve pas d'intérêt particulier pour la littérature contemporaine.

6) Il refuse de jouer la "Fantaisie impromptu" de Chopin, qu'importe les circonstances. Ce morceau est un véritable traumatisme pour lui et une simple écoute suffit à éveiller en lui des souvenirs particulièrement douloureux.

7) Il est un amateur de grande cuisine, mais il est incapable de préparer des pâtes : il a  généralement recours à des traiteurs pour confectionner ses repas.

8) Sujet à des terreurs nocturnes, son sommeil est régulièrement perturbé et il lui est rare de faire une nuit complète.

9) Il est encore très innocent sur le plan de l'amour : soumis à l'emprise de sa mère jusqu'à ses trente-cinq ans, il n'a jamais osé se laisser aller à ses "pulsions" et éprouver plus qu'un simple intérêt envers les hommes qui faisaient battre son coeur. Aujourd'hui, il est encore beaucoup trop timide et perturbé pour s'engager dans une relation.

10) Il aime chanter, mais il n'ose pas le faire en public. Il se cantonne généralement au piano.

TON PSEUDO : Aki  ▲ TON ÂGE  : 21 ans▲ TON PAYS :  France▲ TA FRÉQUENCE DE CONNEXION : Un peu tous les jours▲ COMMENT T'ES ARRIVÉ ICI ? En allant de partenariats en partenariats ▲ TON AVIS SUR LE FORUM : J'adore le contexte *_* ▲ UN COMMENTAIRE ? Hâte de rp avec vous :D
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Franco Callini

DATE D'INSCRIPTION : 30/10/2015
MESSAGES : 73


Franco Callini - Music is a way of being  Empty
MessageSujet: Re: Franco Callini - Music is a way of being    Franco Callini - Music is a way of being  EmptyVen 30 Oct - 10:50


Divenire
All i am i owe to my mother



Trente-huit ans. Il avait fêté ses trente-huit printemps. Les prix, les récompenses, les consécrations avaient défilé tout au long de son existence. Mais pour qui les avait-il seulement gagnés ? Etait-il heureux ? Comblé ?

A toutes ces questions, Franco n'avait pas de réponse. Il aimait enseigner le piano, en jouer... Mais il n'avait jamais été particulièrement intéressé par le prestige qui lui était désormais conféré. Non. Ca, ça avait toujours été le souhait de sa mère, Isabella Callini.

En son temps, Isabella était une chanteuse d'opéra remarquable. Sa voix unique lui promettait une longue et belle carrière, si seulement le destin ne l'avait pas arrêtée en plein élan. Un cancer de la gorge avait ruiné ses précieuses cordes vocales. Elle s'en était sortie, mais elle se prenait souvent à rêver que ce ne soit pas le cas.

Isabella s'était mariée à un homme, Francisco Callini. Il était bien loin de tout ce que la jeune femme avait pu rêver, à l'époque. Elle se voyait aux bras de chefs d'état, de personnalités publiques, de célébrités... Mais sa déchéance l'avait conduite à être tout juste bonne à attirer le regard d'un commerçant. Au moins gagnait-il bien sa vie...

Isabella avait toujours insisté pour que leur fils ait une éducation musicale. Elle avait des idées de grandeur, de réussite, toutes ces belles choses qui lui avaient été promises et qu'elle n'avait jamais pu obtenir.

Son mari était là pour tempérer ses ardeurs, pour permettre à son fils d'être un simple petit garçon. Lui et Franco avaient une connexion très forte, un lien qu'Isabella jalousait sans jamais l'exprimer franchement. Il n'exigeait rien du petit garçon qui, en retour, lui offrait tout l'amour dont il était capable. Avec lui, Franco ne se sentait jamais mis sous pression. Il était libre d'être qui il souhaitait être.

Mais cela ne dura pas. A ses six ans, le petit garçon devint orphelin de père. Le commerce de Mr Callini se portait de moins en moins bien et il s'était tourné vers des moyens peu légaux pour garder la tête hors de l'eau. Embourbé dans ses problèmes, craignant des représailles envers sa famille, il avait préféré mettre fin à ses jours. Il n'avait pas vu d'autre issue.

L'emprise d'Isabella sur son fils se fit alors beaucoup plus intense. L'enfant cessa de sortir jouer, de s'amuser avec ses camarades, de passer du temps hors de la maison. Il se levait, déjeunait, s'exerçait au piano, allait à l'école, rentrait chez lui, mangeait, s'exerçait au solfège, retournait à l'école, rentrait, travaillait le piano, mangeait et étudiait jusqu'à ce que le sommeil ne saisisse sa mère.

Ce n'était pas une simple pression qu'Isabella lui imposait. C'était une véritable torture. Chaque échec était sanctionné par un coup, une aiguille plantée dans son épiderme ou une punition aussi douloureuse qu'angoissante. Il n'avait pas le droit de se tromper. Il ne pouvait pas se contenter d'être parmi les premiers. Il devait être au sommet. Constamment.

Franco était doué. Son oreille absolue l'aidait à discerner sans difficulté les notes, à retracer une mélodie rien qu'en l'entendant. Ses doigts étaient plus habiles sur un clavier qu'ils ne l'étaient agrippés à un stylo ou dans le cadre de son quotidien. Il était un véritable musicien, un diamant brut. Et Isabella était prête à tout pour le "magnifier", lui, son précieux petit pianiste.

Franco vivait dans un stress permanent. Leur famille était tombée en disgrâce suite aux actions de son père et il semblerait que le reste du monde ne voit en lui que l'ersatz de Francisco Callini, un lâche doublé d'un malfrat. On se moquait, on l'ignorait, certains le craignaient, comme s'il était déjà une "graine de gangster" en devenir.

Sa mère n'était que plus désireuse encore de le voir couvert de prestige, espérant que le don de son fils saurait faire oublier les erreurs de son incapable de mari. Elle ne voulait pas qu'on se souvienne d'elle comme l'épouse d'un malfrat. Elle souhaitait être la mère d'un prodige.

Et un prodige, il en était un. Très vite, Franco se distingua parmi les autres élèves qui suivaient les cours de musique. Son jeu était mature, empreint de gravité, d'humilité et de mélancolie, une performance bien rare de la part d'un si jeune garçon. On le mit en avant, on le fit participer à toutes sortes de concours, dont il remporta la plupart.

Il n'avait pas le choix, de toute manière. C'était la première place ou les coups. La consécration ou la punition. Et s'il y avait une chose que Franco ne souhaitait pas, c'était bien de décevoir Isabella. Ses colères étaient redoutables. L'enfant était marqué, soumis à son emprise, incapable de comprendre que ce qu'elle lui faisait était mal, persuadé qu'il méritait ce traitement. Il devait être le meilleur. Il n'avait pas le choix. Il devait être au sommet.

A ses seize ans, il avait déjà remporté plusieurs prix internationaux et enregistré un disque, qui avait fait parler les amateurs de musique. Le nom des Callini n'était plus associé à une chanteuse d'opérette déchue ou un commerçant hors-la-loi : il était attribué à un adolescent prodigieux, un jeune pianiste d'exception.

La vie de Franco était réglée comme une horloge, dirigée par la main de sa mère. Aucune liberté. Aucune initiative. L'argent qu'il gagnait était géré par Isabella, il n'en voyait pas la couleur et n'avait jamais eu la simple idée de demander à le faire. Tout cela était normal pour lui. Commun. Sa vie appartenait à Isabella Callini. Rien de plus, rien de moins.

Il n'avait pas d'amis proches, tout juste des connaissances pour lui permettre de s'élever toujours plus, de grimper constamment l'échelle sociale. Sa mère gérait ses cercles de connaissance, son quotidien, ce à quoi il était supposé consacrer ses journées...

La musique était sa prison tout autant qu'une délivrance. Malgré toute la pression imposée sur ses épaules, Franco aimait jouer. Il avait l'impression étrange de quitter son corps lorsqu'il se lançait dans un morceau de piano. Il n'était plus vraiment là, il était... ailleurs. Bien. Serein.

Mais cela ne durait pas. Il suffisait d'une fausse note, d'une erreur et le bonheur prenait fin, laissant place à la peur, à la douleur, aux regrets. Il y avait cette musique, en particulier, qui était une véritable source d'angoisse pour lui. La "fantaisie-impromptu" de Frédéric Chopin. Un morceau remarquable, technique, difficile.

Franco ignorait ce qui le bloquait autant dans ce morceau. Mais il n'y parvenait pas. Jamais parfaitement. Et c'était bien la perfection que sa mère recherchait. Il avait passé des jours complets et des nuits entières sur ce morceau,  en vain. Les coups, les privations, les humiliations n'avaient rien changé. Il n'y parvenait pas. Il n'y parvenait tout simplement pas.

A vingt ans, après un concours prestigieux où il avait eu le malheur de finir à la deuxième place,  le jeune homme craqua. Il n'en pouvait plus. Il vivait un enfer constant, dont il ne semblait pas y avoir d'échappatoire. Il était persuadé que tout était de sa faute, qu'il n'était pas assez bon pour mériter l'amour de sa mère, qu'il n'arriverait jamais à la rendre fière...

Il avait alors songé à son père. A la délivrance. Et, après avoir rédigé une longue lettre demandant le pardon, il avait tenté de mettre fin à ses jours, vidant l'armoire à médicaments de sa mère. Ce fut cette dernière qui le surprit, entre la vie et la mort, recroquevillé sur le sol de la salle de bain. Elle l'avait trouvé juste à temps pour que les secours puissent le sauver.

Ce n'était pas ce qu'il souhaitait. Ce n'était pas ce qu'il voulait. Mais le jeune homme n'avait pas eu le choix. Il avait été sauvé, bien malgré lui. Sa mère avait su jouer parfaitement la comédie, ne comprenant pas comment son pauvre chéri avait pu se mettre une pression pareille, jurant de l'entourer d'amour et d'affection. On ne posa pas trop de questions. Isabella Callini avait suffisamment d'argent pour faire taire les curieux et les soupçonneux. Personne ne lui prendrait son petit prodige.

Lorsqu'elle le put, elle le ramena à la maison, sa cage dorée. Et elle joua la carte de la culpabilité, le manipulant à sa guise pour le rendre plus malléable encore, plus obéissant, plus zélé. Il ne devait pas tenter de lui échapper une nouvelle fois.

Comment avait-il pu lui faire ça ? A elle, qui avait tout sacrifié pour lui, qui l'avait mené à la gloire, à l'accomplissement... Se donner la mort ? Vraiment ? Quel fils indigne était-il donc, pour oser faire une chose pareille ? Lui causer un tel chagrin ? Ces phrases, elle les lui avait assénés, encore et encore, et le jeune homme les avait cru, s'en était imprégné.

Oui, vraiment, comment avait-il osé ? Comment avait-il pu... ? Sa mère méritait mieux que cela. Isabella Callini méritait mieux que cela. Il était son fils, son prodige, son pianiste. Il n'avait eu que la deuxième place au concours ? Il lui fallait donc travailler encore davantage pour atteindre à nouveau les sommets. Se laisser aller à la facilité, comme son père avant lui... A quoi pensait-il donc ?

Bien qu'il soit adulte et en mesure de se prendre en charge, Franco n'avait jamais quitté la demeure familiale. Il était resté auprès de sa mère, qui lui certifiait qu'il avait besoin d'elle en permanence pour continuer à mener sa carrière. Que ferait-il sans elle ? Il ne pouvait même pas cuisiner de simples pâtes...

Franco ne l'avait pas remise en question. Sa tentative de suicide et ce qui avait suivi l'avaient rendu plus docile encore. Comme le bon fils qu'il estimait être, il laissait libre cours à sa mère de diriger chaque minute de sa vie. Ce fut elle qui fit de lui un professeur de musique, demandé par les plus grandes familles d'Italie pour transmettre ses talents. Il enseigna aux fils et filles de grands chefs d'entreprise, d'acteurs et d'actrices, de célébrités et riches en tout genre...

Il attira particulièrement l'oeil d'une certaine Giulia, l'une de ses élèves. Dix-huit ans, aucun don en musique ni de goût particulier pour le piano, mais un faible certain pour son professeur qui, lui, ne lui accordait pas un regard... Après tout, Franco n'avait pas le temps pour cela.

Un jour, peut-être, il se marierait à une femme que sa mère avait choisi pour lui. Même s'il n'éprouvait pas d'intérêt particulier pour la gente féminine. Qu'importe. Ses préférences n'entraient pas en compte. Il faisait ce que sa mère souhaitait qu'il fasse, voilà tout.

Toujours était-il que la jeune femme, audacieuse, était bien décidée à attirer son professeur dans ses filets. S'il n'était pas capable de percevoir son intérêt manifeste lors de leurs cours de piano, elle viendrait chez lui et s'imposerait dans son intimité. Il ne pourrait pas refuser ses avances. Personne ne lui refusait jamais rien.

Giulia n'avait pas eu de difficultés à trouver l'adresse de son professeur. Elle n'avait pas appelé au préalable, comme l'aurait voulu la courtoisie. Elle était certaine qu'elle aurait eu Mrs Callini au téléphone et elle n'avait pas l'intention de lui demander la permission de voir son fils. Elle était au-dessus de cela. Et Franco Callin était un homme adulte, tout de même !

Elle s'apprêtait à sonner pour annoncer son arrivée quand un bruit suspect avait interrompu son geste. La porte étant ouverte, elle s'était faufilée, guidée par une curiosité presque morbide. Elle s'était toujours doutée, comme bien d'autres, que des choses étranges se passaient dans la demeure Callini. Personne n'avait eu toutefois l'occasion, comme elle, de pouvoir vérifier la véracité des rumeurs...

Le bruit suspect qu'elle avait entendu provenait d'un placard exigu. On frappait de l'intérieur, comme si... comme si quelqu'un y était enfermé... D'une main tremblante, elle l'avait ouvert pour y trouver son professeur nu, recroquevillé, le corps recouvert d'ecchymoses et de brûlures. Il tremblait de peur et de froid, les poings ensanglantés à force de frapper contre la porte.

Il suppliait tout bas, murmurant qu'il arriverait à maîtriser ce morceau, qu'il n'était pas un méchant garçon... Il ne semblait même pas avoir réalisé qu'il ne s'adressait pas à sa mère, mais à Giulia, sa jeune élève.

Cette dernière, profondément choquée, avait pris la fuite. Elle s'était confiée à son père, qui avait immédiatement alerté les autorités. Isabella avait été placée dans un institut psychiatrique et Franco, à trente-cinq ans, fut finalement délivré de son emprise.

Pendant deux années, il cessa d'étudier, de jouer du piano, pris en charge par des médecins et des psychiatres pour lui permettre de se défaire de l'emprise maternelle, pour espérer mener une vie ordinaire. Les rumeurs avaient couru, mais personne n'avait soupçonné qu'Isabella Callini puisse exercer un tel pouvoir sur son fils.

Le travail sur soi que Franco dut effectuer fut long, douloureux, difficile. Il devait accepter que ce que sa mère lui avait fait était mal, qu'il était une victime dans cette histoire et qu'il avait le droit de vivre sa vie comme il l'entendait. Tout ça était nouveau pour lui. Presque insensé. Cette liberté, il n'y avait plus eu droit depuis sa petite enfance. C'était... effrayant.

A trente-sept ans, il avait cessé de vivre sur ses deniers et ce que ses albums continuaient de lui rappoter, reprenant son travail de professeur de piano. Il aimait la musique et, de toute manière, c'était tout ce qu'il savait faire. Mais il était libre de se tromper. D'enseigner à qui il le désirait. De ne pas être toujours premier.

Il renonça définitivement aux concours, mais accepta, à l'aube de ses trente-huit ans, de donner de nouveaux concerts. Pas de pression. Pas de punition. Juste... le plaisir de jouer. C'était un véritable rêve qu'il vivait. Un rêve imparfait, terni par les angoisses, le traumatisme, la peur constante de l'ombre de sa mère, qui continuait à régner dans son esprit...

Tout était encore à reconstruire. Mais il avait toute la vie devant lui...
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Leone Duccio

DATE D'INSCRIPTION : 02/08/2015
MESSAGES : 671


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MessageSujet: Re: Franco Callini - Music is a way of being    Franco Callini - Music is a way of being  EmptyVen 30 Oct - 11:36

/se faufile, se jette, mord et attrape/ Bienvenue  Franco Callini - Music is a way of being  121373921 DANCY LE CHOUPI  Franco Callini - Music is a way of being  2537566586. Je ne ferai aucun commentaire tendancieux à propos de leçon de piano, mais quand même... Franco Callini - Music is a way of being  468238075 Et comment ça il a tout plein de cicatrices le bidule ? JE VEUX L'HISTOIRE   Franco Callini - Music is a way of being  3951618401

Citation :
Aujourd'hui, il est encore beaucoup trop timide et perturbé pour s'engager dans une relation.
Je te balance Leone dans les pattes, il lui apprendra des choses Franco Callini - Music is a way of being  3985001542
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Invité

Invité


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MessageSujet: Re: Franco Callini - Music is a way of being    Franco Callini - Music is a way of being  EmptyVen 30 Oct - 12:14

Oh Dancy Franco Callini - Music is a way of being  2642297808
Et le fait qu'il soit professeur de piano ♥️
Bienvenue parmi nous et courage pour la suite de ta fiche :)
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Saskia Alighieri

DATE D'INSCRIPTION : 10/08/2015
MESSAGES : 910


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MessageSujet: Re: Franco Callini - Music is a way of being    Franco Callini - Music is a way of being  EmptyVen 30 Oct - 14:08

C'est qu'il est bien beau ce petit ange Franco Callini - Music is a way of being  121373921
Tu lui donnes un côté bidule qu'il faut protéger, j'aime bien, j'aime beaucoup même et les manies de ton histoire, j'ai envie d'en savoir plus maintenant Franco Callini - Music is a way of being  2294274744
Bienvenue parmi nous Franco Callini - Music is a way of being  1292769846
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Leone Duccio

DATE D'INSCRIPTION : 02/08/2015
MESSAGES : 671


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MessageSujet: Re: Franco Callini - Music is a way of being    Franco Callini - Music is a way of being  EmptyVen 30 Oct - 15:51


Tu es validé !
bienvenue chez toi



Le BIDULE  Franco Callini - Music is a way of being  759184776. Son enfance est terrifiante! La mère qui est une véritable harpie, à mordre à chaque pas de travers, gamin éduqué dans le but d'un idéal qu'elle n'a pas atteint. L'idée est grandiose, et surtout effrayante, mais c'est ce qu'on aime ici  Franco Callini - Music is a way of being  2642297808. Le poids de traumatismes qu'il doit se trainer sur les épaules, il va faire le bonheur des psy Franco Callini - Music is a way of being  759729899 Bon, maintenant que la vieille n'est plus là pour l'enfermer, faut l'éduquer le petit, qu'il apprenne qu'il y a autre chose que le piano dans la vie  Franco Callini - Music is a way of being  468238075

Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pour ce faire, tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu.  
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MessageSujet: Re: Franco Callini - Music is a way of being    Franco Callini - Music is a way of being  Empty

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