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 Oh, cruel fate.

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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyVen 25 Sep - 23:43


LEANDRO SAMUELE CAPUANI
Ain't no chance of heaven, going straight to hell



NOM : Capuani, un simple nom sur un acte de naissance, un nom qui n'est même pas le sien, un nom qui sonne désormais faux à ses oreilles, dont il essaie de se détacher autant que possible, qu'il ne dévoile jamais.  ▲  PRÉNOM :Leandro, un prénom qui n'a pas plus de valeur pour lui que son nom. Il ne sait même pas d'où il lui vient. ▲ ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : 30 années, une date incertaine, mais qu'on lui a rabâché des années durant, et à laquelle il a toujours fêté ses anniversaires, le 15 mars, 1975 pour l'année. ▲  STATUT CIVIL : Célibataire, et ce n'est pas prêt de changer. L'amour est bien le dernier de ses soucis.▲ ORIENTATION SEXUELLE : Ce sont bien les lèvres pulpeuses de ces chères demoiselles qui l'attirent, mais il lui arrive très peu souvent de s'adonner à une relation, courte ou longue. ▲ METIER : Bijoutier, un métier qui lui permet de cacher de grosses transactions d'argent pour ses escroqueries. Et un métier qui le passionne, parfait en somme. ▲ SITUATION FAMILIALE : Enfant adopté pour l'État, acheté pour ceux qui y étaient. Leandro n'a plus aucun contacts avec ses parents, même s'il tente de retrouver sa mère à Florence. ▲ TRAITS DE CARACTÈRE : Manipulateur, Méfiant, Mystérieux, Mesquin, Patient, Sociable, Rieur, Escroc,  ▲ GROUPE : No church in the Wild ▲ CRÉDITS : tumblr

La première chose qu'on remarque chez Leandro, ce ne sont ni ses beaux yeux verts ni son caractère, mais bien ses TATOUAGES, et quoi de plus naturel ? Le jeune italien les aime beaucoup, et n'en regrette pas un seul. Ils font partie intégrante de sa vie, sont une partie de lui, et c'est grâce à eux qu'il a réussi à se reconstruire quand il apprit qu'il avait été acheté lorsqu'il était bébé. Ce sont, selon lui, les seules choses qui le représentent vraiment, bien plus que tout le reste de sa vie. C'est une seconde peau.

Si le tatoué a bien une obsession, ce sont les BIJOUX. Une passion qui l'a pris dès le berceau. Peut-être dû à la chevalière qui est la seule piste qui pourrait le mener à sa famille. En tout cas, il aime ce qui brille, et il en a fait son métier. Bijoutier et propriétaire d'une petite bijouterie à Florence, Leandro consacre beaucoup – trop peut-être – de temps à sa passion. N'essayez pas de lui demander ce qui l'attire dans son métier, il ne saura vous répondre.

ESCROQUER, c'est comme une seconde nature chez Leandro. Une façon comme une autre de gagner de l'argent. Leandro est doué dans cet art et il ne s'en prive pas. C'est pour lui une façon d'améliorer son train de vie. Mais il a un but tout autre, gagner assez d'argent pour se venger du fait d'avoir été vendu. La pauvreté lui fout des nœuds dans les entrailles, une phobie assez singulière.

FUMER. Ça le détend. Il aime ça, et n'est pas prêt d'arrêter. Pas en grosses quantités, mais assez pour être considéré comme fumeur. Une cigarette ou deux par jour, pas plus.

JOUER AVEC SA CHEVALIÈRE. Un tic chez le trentenaire, totalement incontrôlable, et qui survient dans de nombreuses situations, toutes aussi différentes les unes des autres. Quand il est nerveux ou perdu sans ses pensées, le tatoué fait tourner sa chevalière autour de son doigt, inconsciemment et tout à fait naturellement.

MANIPULER les gens, c'est un jeu pour lui. Il aime ça, les couvrir de belles paroles, leur promettre monts et merveilles, et leur soutirer des sommes faramineuses. C'est un peu comme avec les bijoux. Un visuel sublime, mais des alliages de métaux douteux, qui conduisent à une déception du client, et la jubilation du vendeur. Ce n'est pas plus compliqué que ça.

Leandro est un MYSTÈRE à lui tout seul, et pour lui même. Un mystère qu'il aime entretenir pour les autres, mais qu'il aimerait lever pour lui. Il a besoin de réponses, de savoir qui il est. Il ne veut pas être le fils de ces gens, il ne veut pas même être le fils de ses parents, il veut être lui. Trouver les pièces manquantes au puzzle.

SOURIRE, il sait que ça le rend effrayant, et ça l'amuse. Il n'a pas un physique commun, déjà peu avenant de base, mais avec un sourire, il est complètement flippant. Je vous laisse imaginer la réaction des gosses à la sortie de l'école. Il en use et abuse, il fait peur aux gens.

La PATIENCE, c'est son point fort. Il peut attendre des jours et des jours devant ses victimes, jusqu'à ce qu'elles tombent dans son piège. Leandro est un prédateur, c'est comme ça qu'il se voit. Il est sans cesse en chasse, il veut toujours plus. Il se tapit dans l'ombre et attend ses proies.

Son GROUPE, son gang, si l'on peut l'appeler comme ça. 4 personnes. 3 garçons, 1 fille. Un petit groupe auquel Leandro est attaché, malgré tout, et qui lui est bien utile pour mener à bien ses magouilles. On ne les voit pas souvent à 4, mais ils sont bien là, derrière vous. Ils veulent votre argent, ils l'auront.

TON PSEUDO : Kim  ▲ TON ÂGE  : 16 ans ▲ TON PAYS : France ▲ TA FRÉQUENCE DE CONNEXION :2/7 ▲COMMENT T'ES ARRIVÉ ICI ? Grâce à Night ! Oh, cruel fate. 2197445060TON AVIS SUR LE FORUM : Je n'ai pas pour habitude de jouer du vie réelle, quelque soit le thème, mais j'aime particulièrement ce forum !   Oh, cruel fate. 59245872   ▲ UN COMMENTAIRE ? J'ai hâte de jouer !  Oh, cruel fate. 2271388212
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyVen 25 Sep - 23:44


WHO AM I ?
Show me your gold, do what you're told. No time for games.






C'était il y a 30 ans, à Rome. Je ne pourrais vous dire la date exacte, ni comment ça s'est passé exactement. J'imagine qu'il y avait une ruelle sombre, deux personnes, auxquelles je suis étroitement lié contre mon gré, une enveloppe et un paquet. Un échange illégal, qui, de loin, pourrait paraître totalement banal. Ce n'est pas ce qui manque, à Rome, ou ici à Florence, les gens illégaux. Même ces gens au visage impassible, ces gens qui vous paraissent tout à fait normaux, innocents, ils ont bien fait une connerie dans leur vie, ils ont bien, un jour à l'autre, défié la loi. Certains, je vous l'accorde, n'ont fait que de petits trucs, ne se sont jamais fait chopés. Acheter un peu de drogue, comme ça, pour tester, pour s'amuser, falsifier une carte d'identité pour devenir soudainement majeur. Et peut-être qu'ils ont développé un réseau de prostitués, ou qu'ils ont fait du trafic d'arme.
Je suis né dans un trafic, avant même d'être né mon sort était scellé. Pas de drogue, de putes, d'armes ou que sais-je encore. Pas même un réseau. Un truc isolé, bien caché. Fallait pas que ça se sache. Dès fois, j'essaie de m'imaginer la scène.

- Je vous attendais, mademoiselle.

Les yeux rougis, le corps frêle mais déformé, elle tenait contre elle un paquet bien serré. Les larmes coulaient encore sur ses joues colorées par le froid encore piquant cette nuit-là, au tout début du printemps. Elle semblait attachée à ce qu'elle serrait contre sa poitrine. De sous sa veste en cuir, l'homme, la quarantaine affirmée, sortit une enveloppe qu'il lui tendit. Levant vers lui des yeux hésitants, la jeune femme, qui semblait ne pas encore avoir dépassé la vingtaine d'années, ne bougea pas. Las et pressé, l'homme rapprocha l'enveloppe dans un geste sec.

- Il y a le compte, vous avez ma parole. Donnez-le moi.

La gorge de la jeune femme se serra. Elle ne savait pas. Devait-elle le faire ? Elle doutait, depuis une semaine. Neuf mois durant, elle avait été sûre d'elle, et puis là, depuis qu'il était là, elle s'y était attachée. C'était son fils, tout de même. Résolument, non, elle ne pouvait pas l'élever. Elle déposa un tendre baiser, empli de maternité et de peur, tremblant, sur le front du nourrisson, qui ne devait pas avoir plus de deux semaines. L'éloignant de son corps pour le déposer dans les bras de l'homme, les larmes coulèrent de plus belle, elle ne détachait pas ses yeux sombres du bébé emmailloté  dans une couverture. Le cri perçant du petit, perdant l'odeur de sa mère, déchira le silence de l'impasse. Serrant les lèvres, la jeune femme pris l'enveloppe, et sans demander son reste, déguerpit.

Je ne peux pas dire que je n'ai pas eu une enfance malheureuse. J'étais le seul fils de mes « parents », et ils m'ont aimé et choyé autant qu'ils le pouvaient. J'étais même un gosse pourri gâté, à y repenser. On aurait pu en rester là. Un gosse vendu, mais un gosse aimé. Mais j'ai atteint mes vingt ans, et ils ont pensé bon de me le dire. « On voulait que tu saches... Ne nous en veut pas. » Comme si je n'allais pas ne pas leur en vouloir. Deux beaux salops.



L'aiguille s'enfonce dans ma peau à intervalles réguliers, rapide. Je suis habitué à la douleur, je ne sens rien. Je regarde l'encre venir s'installer sous mon épiderme, définitivement. Plus les rendez-vous s'enchaînent et plus mon corps prend forme. Je ne suis plus Leandro. Je ne suis plus un Capuani. Je ne suis plus un homme. Je suis juste ce qu'ils ont décidé de faire de moi : un zombie. Un corps sans âme, tout juste nourri par l'ambition. Tout juste nourri par la haine, l'envie de faire mal, de voir souffrir.

« Leandro, c'est... maman... Ca fait au moins 45 fois que je t'appelle, je sais... Mais j'aimerais que tu me répondes. Que tu me fasses un petit signe. Je sais que ce qu'on t'as dit t'a choqué, mon ange, mais nous sommes tes parents, nous t'aimons... Nous t'avons élevé, Leandro, et jamais rien ne changera cela. Je ne t'ai pas porté durant neuf mois, c'est vrai, mais je t'aime. C'est important, non ? Ce n'est que pour ton bien que ta... Mère biologique t'as... t'as... vendu... Elle n'aurait jamais pu t'élever. Elle voulait ton bonheur, Leandro, penses-y. Je t'aime, mon chéri. »

Il ne put même pas attendre la fin du message vocal pour violemment envoyer son téléphone dans le mur. Une rage folle l'avait pris depuis la révélation sur sa naissance. Un grand vide s'était emparé de lui. S'il n'était pas celui qu'on lui avait dit être durant ces vingt dernières années, qui étaient-ils ? Il est difficile pour un enfant de se construire une identité, une place dans la société. Cela prend plusieurs années. Et à peine Leandro avait réussi ce challenge de taille qu'on lui balançait qu'il n'était pas celui qu'il pensait être. Il devait tout recommencer. Chercher qui il était.

Il a vite trouvé. Un gars totalement différent. Un gars rongé par la haine, pourri de l'intérieur. Un cadavre en décomposition, mais toujours sur pied. Ils l'ont tué de l'intérieur, son cœur a explosé, il n'en reste plus rien. 

Il a commencé par un ou deux tatouages. C'est devenu une obsession. Sa peau en est recouverte. Il est blanc de peau, noir d'encre. Il fait peur aux autres, il se fait peur à lui. Les autres ne le comprennent pas, il ne comprend rien non plus. Il est perdu, et il perd les autres. Tout ce qu'il sait, c'est qu'il est différent. Il n'est pas comme eux.




Un, puis deux, puis trois, puis quatre. 4 gars, des bons gars. Je sais que je peux avoir confiance en eux. Ils ont eu des problèmes, ils en auront encore, longtemps. On est soudés, ensemble. On se serre les coudes, on s'entraide. On veut tous sortir de cette galère, que ce soit l'argent ou notre vie. On est tous déchirés de l'intérieur, mais on essaie de panser les blessures. On a tous les 4 nos problèmes, notre passé, mais pour l'instant, on le met de côté, on s'en fout. On passe au dessus, on y reviendra plus tard. Là, on se fait de l'argent, on fait souffrir comme on a souffert. On se fait craindre, voilà notre objectif.

« Pas plus tard que cette nuit, a été dérobé, dans la maison de cet homme fortuné, un magnifique tableau de de Vinci. L’œuvre était fièrement exposée au dessus de sa cheminée. Quel choc ce matin pour cet homme de soixante-treize ans, de découvrir qu'on avait pénétré son intimité pour lui voler cette sublime œuvre. La police n'a trouvé aucune trace des ravisseurs. Si l'on a dérobé la pièce maîtresse du salon de cet homme, on lui a aussi subtilisé d'autres objets de valeur, notamment des bijoux, qui, a-t-il rapporté, lui venait de sa famille. En état de choc, l'homme a été conduit chez sa fille, loin de l'agitation de Rome, et la police a été déployée dans le quartier. Le total du vol est estimé à plus d'un million d'euros. »

D'une main fière, Leandro éteint le poste. Deux ans après le début de leur gang, l'Odio Rosso, les cinq voleurs s'attaquaient désormais à de gros vols. Parfois des musées, encore souvent des particuliers. Les ventes auraient lieu dans la nuit. Ils ne gardaient jamais les objets trop longtemps. Ils se débrouillaient pour avoir des acheteurs avant le vol, ou pour vendre les biens juste après. Mieux valait rester discret.



Je les regarde tous, un par un. Ils sont quatre face à mois. Mon cerveau travaille à toute allure, à cet instant. Comment vont-ils réagir ? Je n'en sais foutrement rien. D'un côté, je m'en fous. Je suis le chef. Ils n'ont qu'à obéir, qu'à accepter.

« Night. Je me nomme Night. »

Bien, elle m'a évité d'avoir à faire les présentations. Ils n'ont pas l'air de réagir. Pour l'instant. Je laisse tomber.

Il l'avait repérée, il y avait déjà plusieurs jours de cela. Tous les soirs, elle sortait de ce club, allumeuse, aguichante. Mais elle semblait perdue, seule. Alors il lui avait proposé de l'aider, qu'elle serait bien payée. Elle ne devrait plus nettoyer, briquer, astiquer, plonger sa tête dans les cuvettes sales, balayer les sols marqués par la poussière des semelles. Elle pourrait prendre sa revanche sur les hommes, les femmes qui lui avaient fait nettoyer leur saleté, les torturer comme elle l'aurait voulu.

Elle n'avait pas accepté. Mais, sans savoir pourquoi, il avait persévéré. Tous les soirs, il était venu l'attendre, lui parler. Il n'avait même pas su s'expliquer pourquoi. Neuf jours. Il lui avait fallu neuf jours pour qu'elle accepte. Une drôle de relation s'était créée par la suite.




Je la vois fouiller, prendre de l'argent, beaucoup. Je l'arrête, je lui crie dessus, je la tape. Et puis plus rien.

Il avait fallu deux ans à la blonde avant de se rebeller. Leandro l'avait pris sous son aile, mais sa vie ne lui plaisait pas. Elle voulait partir. Leandro voulait la retenir. Des cris, des coups. Un coup. Il se retrouve au sol, privé de sa conscience. Quelques heures, quelques minutes. Assez pour qu'elle puisse partir. Il n'avait pas compris, pas cherché à comprendre. Elle était partie, c'était tout. Il aurait préféré qu'elle reste, ça n'avait pas été le cas.



Florence. Une ville que je ne connais pas. Mais une ville où il y a très certainement ma mère. De toute façon, il nous faut partir. Rome devient trop dangereuse pour nous, on risquerait de s'y faire prendre. Les gars sont d'accord. On partira dans deux semaines, histoire de se préparer. C'est pas des vacances, qu'on se prend. On part, on ne revient plus à Rome.  Aucun de nous n'a d'attaches ici, de toute façon. On ne fuit pas qu'une ville, on fuit notre passé, on fuit nos démons.

- Je crois que tu as oublié quelque chose...

Avançant sur l'homme d'une démarche lente, posée mais pas moins menaçante, Leandro le fixait de son regard sombre et profond. Il détestait qu'on ait du retard sur ce qu'on lui devait. 

- J'espère que tu as l'argent. Non pas que ça me dérangerait de te faire une petite piqûre de rappel...

Assis sur une chaise, l'homme ne semblait pas en position de se défendre. Levant ses yeux sur Leandro, il regarda, terrorisé, la lame d'acier tourner entre les doigts habiles du tortionnaire. D'un geste sec et rapide, le tatoué plaqua la main du client contre le mur et planta la lame en plein milieu de la paume. La couleur argent de l'acier se teinta lentement d'un liquide épais, carmin, qui vint, goutte après goutte, former une tâche sur le parquet ancien. La peur se lisait dans les yeux de la victime, la douleur aussi.

Ce soir-là, Leandro repartit avec la somme dûe, mais aussi avec l'horrible sensation qu'il n'était plus en sécurité dans cette ville qui l'avait vu naître, grandir, changer, renaître, rire et pleurer, gagner et perdre. 




Une petite boutique dans une rue calme mais fréquentée de Florence. Une simple bijouterie en apparence, ma bijouterie. J'avais pensé qu'avoir une activité autre que les magouilles pourraient nous aider. J'avais toujours eu une fascination que je ne m'étais jamais expliquée pour les bijoux. J'aime tout ce qui brille.

- Et voilà les clés, Monsieur Capuani. Cette boutique est désormais vôtre.

En plein cœur de Florence, dans un petit local, se déroulait un échange tout à fait banal entre un agent immobilier et un homme, pour le moins original, Leandro. Il venait tout juste de  faire l'acquisition de cette boutique, et il comptait bien en faire une bijouterie. Moins d'un mois plus tard, les portes de la bijouterie s'ouvrirent. La boutique semblait très simple, bien que le bijoutier soit si singulier. 

Mais si Leandro était venu à Florence, ce n'était pas pour simplement ouvrir une petite bijouterie, mais pour retrouver sa mère, qui, après recherches, semblait s'être établie ici, et pour se sauver de Rome, qui devenait bien trop périlleuse. 




Je travaille, je vole, je cherche, je torture. Je suis Leandro. Leandro Capuani. Je ne suis pas celui que vous croyez, je suis un autre. Qui ? Je n'en sais rien. 
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Leone Duccio

DATE D'INSCRIPTION : 02/08/2015
MESSAGES : 671


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 11:46

Bienvenue Oh, cruel fate. 121373921 Un bijoutier qui traine ses pattes dans de sales affaires, c'est une super idée Oh, cruel fate. 1085917964 Et ce choix d'avatar! Je l'attendais Rick Oh, cruel fate. 648537290. Pour le fait que tu ne joues d'ordinaire pas sur du réel, ne t'inquiète pas, c'est simple et si tu as la moindre question, tu n'hésites surtout pas ! Oh, cruel fate. 2773691529
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 12:00

Merci beaucoup ! Oh, cruel fate. 32932845
Rick est tellement parfait Oh, cruel fate. 3603036245
Je n'hésiterais pas, merci ♥️
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Salvatore Mantegna

DATE D'INSCRIPTION : 21/08/2015
MESSAGES : 351


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 12:38

Un bijoutier, quelle bonne idée Oh, cruel fate. 2642297808
Et puis Rick Oh, cruel fate. 648537290
Bienvenue parmi nous Oh, cruel fate. 3985001542
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 12:41

Merci beaucouuuuuuup ! Oh, cruel fate. 4139911049
Aaaaaaah, Rick... Oh, cruel fate. 2294274744
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Pio Venturi

DATE D'INSCRIPTION : 04/09/2015
MESSAGES : 46


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 13:56

Avatar & fiche parfaite. Oh, cruel fate. 121373921 Bienvenue ici.
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 14:35

Merciiii ! Oh, cruel fate. 1292769846
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Invité

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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 17:26

rick + le nom Oh, cruel fate. 3125626323
bienvenue Oh, cruel fate. 1292769846
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptySam 26 Sep - 18:38

Oh, cruel fate. 3450142686
Merciiii ! Oh, cruel fate. 32932845
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Saskia Alighieri

DATE D'INSCRIPTION : 10/08/2015
MESSAGES : 910


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyDim 27 Sep - 9:17

Rick Genest en bijoutier Oh, cruel fate. 1382059121 Il fait pas trop peur ? Oh, cruel fate. 759729899 Nah mais... ce personnage que tu nous ponds, cette plume aussi toute fluide, toute limpide. Et les petits indices que tu places, je veux en savoir plus Oh, cruel fate. 2913709860 Je veux la suite Oh, cruel fate. 1552890624 Il promet des merveilles ce petit Leandro, je me demande comment tu vas le faire évoluer et son histoire aussi, bref je plante ma tente et j'attends la fin Oh, cruel fate. 648537290
Bienvenue chez toi Oh, cruel fate. 1292769846 Oh, cruel fate. 2022270288
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyDim 27 Sep - 10:41

Je veux bien un bijoutier comme lui ! Oh, cruel fate. 2027454615
J'espère qu'il sera aussi intéressant que je l'imagine ahah Oh, cruel fate. 2249861174
Merci merci ! ♥️
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Romy Pastore

DATE D'INSCRIPTION : 22/08/2015
MESSAGES : 432


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyDim 27 Sep - 11:16

Oh, cruel fate. 3813113544 Je n'ose même pas imaginer la réaction de Romy si elle se retrouve face à Leandro! En tout cas, j'adore ton idée de personnage et ta façon d'écrire Oh, cruel fate. 2537566586
Bienvenue et bon courage
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyDim 27 Sep - 11:22

Ca va donner de bons jeux ! Oh, cruel fate. 2903262574
Merci beaucoup ! Oh, cruel fate. 32932845
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Invité

Invité


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyDim 4 Oct - 16:33

Comme je suis en retard ! Oh, cruel fate. 2537566586
Ce choix d'avatar est sublime et que dire de cette première partie de fiche pondue ? Oh, cruel fate. 1292769846
Bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite Oh, cruel fate. 648537290
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyDim 4 Oct - 18:09

Merci beaucouuuuuuuuuuuuup ! Oh, cruel fate. 32932845

Aaaaaaaah, Rick Oh, cruel fate. 3603036245
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Leone Duccio

DATE D'INSCRIPTION : 02/08/2015
MESSAGES : 671


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyLun 5 Oct - 16:05


Tu es validé !
bienvenue chez toi



Désolé pour le retard  Oh, cruel fate. 3260323510.

Gosse vendu à une famille, à la recherche d'une identité, j'aime beaucoup le fait que tu inclus les tatouages dans l'histoire  Oh, cruel fate. 2294274744. Comme c'est impossible de ne pas les voir, c'était intéressant que tu en fasses une part de ton personnage  Oh, cruel fate. 1292769846. Et ce petit malfrat qui se fait un nom dans le trafic d'oeuvres. Qu'il ne croise pas la route des Peruzzi, ils pourraient lui couper la tête  Oh, cruel fate. 759729899.

Le mec qui a placé un De Vinci au dessus de sa cheminée, ne devait pas trop y tenir  Oh, cruel fate. 193688590  


Félicitations, tu es validé(e). Avant de franchir les portes de Florence, voici quelques conseils qui pourront t'aider à survivre. D'abord, il te faut VÉRIFIER TON AVATAR DANS LE BOTTIN pour avoir la certitude qu'aucun double, maléfique ou bénéfique, ne vienne te voler ton visage. Ensuite, tu peux aller CRÉER TA FICHE DE LIENS ET DE RPS afin de ne pas terminer en âme noire et solitaire. Pour ce faire, tu peux aussi CRÉER UN SCÉNARIO et peut-être retrouver un visage de ton histoire, une personne avec qui survivre et mourir dans ce chaos. Enfin, si tu veux te détendre et oublier les sombres mémoires du passé, tu peux aller FLOODER avec les autres florentins. Mais n'oublie pas, il faut toujours se méfier de son voisin, ici. Alors, bon courage et bon jeu.  
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Leandro Capuani

DATE D'INSCRIPTION : 25/09/2015
MESSAGES : 16
Age : 39


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MessageSujet: Re: Oh, cruel fate.   Oh, cruel fate. EmptyLun 5 Oct - 19:01

Merci beaucouuuuuuuuuuuuuup ! Oh, cruel fate. 121373921
Ca me semblait tout naturel d'inclure ses tatouages dans son histoire, je me vois mal faire autrement. J'ai l''habitude de le jouer avec sa véritable histoire, et ait donc pour habitude d'inclure ses tatouages dans son passé Oh, cruel fate. 3450142686
Je retiens ! Je vais m'abstenir d'aller leur raconter ses petits exploits Oh, cruel fate. 3087857821
QUOI ? Tout le monde n'a pas un de Vinci au dessus de sa cheminée ? HORREUR, que dis-je ? ABOMINATION ! Oh, cruel fate. 4257631947

Merci merci Oh, cruel fate. 4139911049
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