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| Sujet: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 10:00 | |
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ICARE “BAMBINO” GALLERINI laissez toute espérance, vous qui entrez. | ▲ NOM : enfant de la rue, il n’a aucun souvenir de ses parents, d’une quelconque famille. pendant longtemps, on l’appelait ‘bambino’ parce que c’était le gosse dont personne ne savait rien mais il était toujours là, à traîner, à fureter. on ne sait pas comment il se débrouillait pour survivre dans la jungle urbaine mais il y arrivait. certains prenaient pitié et lui filaient une pièce ou deux, ou bien un morceau de pain sec ; y a même eu cette vieille dame qui lui a offert de prendre un bain. mais le bambino était sauvage, comme un animal indompté, on ne pouvait pas l’enfermer dans une cage dorée ; alors, on le laissait partir au petit matin, on le laissait retourner à sa vie de misère, à son existence d’enfant des rues. puis il a rencontré ce gallerini, il avait toute une bande de gosses à lui – des gommes comme le bambino, tous perdus, tous sans famille. gallerini, ce n’était pas la gentille figure paternelle qui chante une berceuse le soir avant d’aller au lit. non, gallerini, il demandait. il imposait. il fallait ramener tout ce qu’il désirait si on ne voulait pas dormir sous les ponts encore une fois. et le bambino, il s’est laissé faire. bêtement, stupidement. l’enfant sauvage a été dompté à coups de gifles et de reins, comme tous les autres. ▲ PRÉNOM : icare, comme cet enfant qui vola trop près du soleil à s’en brûler les ailes. ça lui ressemble bien, au bambino. Il est sauvage, il prend des risques – trop de risques. il n’a peur de rien, le bambino. mais comme la figure mythologique, il a poussé sa chance trop loin, il a ri au nez du destin et il est tombé. durement, salement. il a goûté la saveur âcre du bitume avant même d’avoir pu toucher le bleu du ciel. Il garde les cicatrices de sa chute sur sa chair, sur son âme atrophiée. il garde l’amertume au fond de sa gorge comme un souvenir qui le brûle et le hante. il s’est pensé invincible, il s’est pensé roi du monde et il a vite compris qu’il n’était rien. rien de tout ça. rien de tout ce qu’il rêvait d’être autrefois. qu’importe, il continuera. il continuera de vouloir braver les interdits, de vouloir repousser toutes ses limites. Il continuera de vouloir voler plus haut, toujours plus haut jusqu’à s’évanouir sur l’horizon tandis que le soleil l’aveugle, le fait disparaître dans sa clarté. ▲ ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : il ne le sait pas, il n’en a aucun souvenir et personne n’a jamais été là pour répondre à ses questions, mais il est né un 23 juillet de l’année 1982. il a trente-trois ans. entre ses parents, ce n’était même pas une histoire d’amour, pas même une histoire de sexe. c’était juste un viol, crade et brutal dans une ruelle abandonnée. il n’y a rien eu de romantique, de tendre – il est simplement le fruit de la bestialité. le fruit de la honte et du dégoût. abandonné sur le parvis d’une église, il aurait pu être élevé dans la grâce de dieu mais il n’était pas destiné à être sauvé. il a couru les rues dès que ses jambes ont pu le porter. il ne veut pas du salut, il ne veut pas du paradis. ça ne sert à rien de croire, il n’y a rien que du vide les soirs où l’on a besoin d’être consolé. ▲ STATUT CIVIL : il a l’âme écorchée et le cœur terrassé, il n’est pas sûr d’être encore capable d’aimer. il ne s’accrochera plus à personne, plus jamais – c’est une promesse qu’il s’est faite le soir où il s’est retrouvé emprisonné. et pourtant, il y a finalement ce nom. un seul nom. cerbère. il résonne dans sa tête, dans sa poitrine, partout à l’intérieur de lui comme un carillon. bonheur ou douleur, il ne sait pas encore – il ne veut pas savoir. c’est juste un nom, un nom qui rime avec obsession. cerbère, leone, cerbère. c’est une mélodie, une litanie sans fin comme une supplique. un dernier souffle. dévotion, servitude. il n’a que ce visage aux traits émaciés qui s’inscrit sur sa rétine comme une trace à l’encre indélébile. cerbère, comme un sauveur, comme un bourreau. l’être par qui le bien, le mal, le tout est arrivé. petit chiot perdu sans son maître, enfant délaissé. il est comme la boussole qui indique le nord, les cailloux blancs du petit poucet. le fidèle cabot d’une âme esseulée. leone. ▲ ORIENTATION SEXUELLE : son corps appartient à tous ceux qui le voudraient bien. il se perd dans la douceur des courbes féminines, se fracasse contre la virilité masculine. il s’offre à la pauvre âme qui le désirera, sans pudeur ni rancœur. ses attentions sont éphémères, elles disparaissent quand se finit la nuit, il ne laisse qu’une vague odeur de parfum bon marché sur l’oreiller, sur la peau de ces autres dont il ne sait rien. il échange quelques plaisirs charnels contre un peu de chaleur humaine, contre une dose d’héroïne – sa faiblesse, sa seule et unique attitrée maîtresse. il se brade parce que ça n’a pas d’importance, il se vend parce qu’il veut oublier le froid qui lui engourdit les membres. ▲ MÉTIER : il est musicien de rue. il est celui que les passants croisent sur les trottoirs, son vieux violon à la main. il est ces notes de musique qui parcourent les rues de la ville, tantôt joyeuses, tantôt tristes. il est celui qui, un chapeau rapiécé aux pieds, ne demande finalement qu’à être écouté. pour la beauté de la musique, la beauté de la mélodie. plus qu’une passion, un véritable leitmotiv. il n’est rien sans son instrument, il n’est rien sans la musique. il aurait voulu pouvoir rêver d’intégrer une grande école, il aurait voulu pouvoir rêver de vivre de ses compositions. mais il n’a que le pavé et ces inconnus pour lui accorder un peu d’attention. alors il joue, encore et encore. toute la journée, toute la nuit. il joue jusqu’à ce que ses doigts saignent, il joue jusqu’à ce que ses bras se paralysent sous la douleur. mais c’est bon, c’est doux. c’est une bien tendre souffrance que de s’évader dans la musique et quitter ainsi ce monde trop sale, trop violent. quand il joue, on dirait un enfant. il a l’insouciance des jeunes années marquées sur son visage juvénile, son âme semble s’élever, libérée du poids de son passé. ▲ SITUATION FAMILIALE : orphelin, il ne sait pas d’où il vient. il n’a jamais eu de repères que les rues de la ville qui sont devenues son terrain de jeu, son territoire d’enfant. il n’a pour figure paternelle que ce gallerini qui a fait de lui un gamin débrouillard et intelligent. ses frères et ses sœurs sont ces autres gosses comme lui, sans rien sinon ce marionnettiste qui dirigeait leur vie. mais, gallerini, il l’a lâché. il l’a abandonné. il l’avait prévenu pourtant : si tu te fais prendre, tu seras seul. et seul, il l’a été. pendant des années. aujourd’hui encore, il n’a personne vers qui se tourner. parce qu’on l’a abandonné, enfant mal aimé. enfant non-désiré. pauvre âme écartelée en recherche d’un petit coin où se reposer. le besoin de reconnaissance, le besoin d’être regardé. d’être aimé. le besoin de nouveaux repères que personne ne semble vouloir lui donner. peu importe, il ne s’avoue pas vaincu – il les trouvera autrement. ▲ TRAITS DE CARACTÈRE : sauvage, curieux de tout, débrouillard, rusé, passionné, parfois violent, enfantin, courageux, combattif, guilleret, obstiné, rancunier, rêveur, envahissant, fidèle, dévoué, chapardeur, voleur, manipulateur, souriant, agile, talentueux. drogué. ▲ GROUPE : no church in the wild. ▲ CRÉDITS : citation by Dante in Divine Comédie ; image by it-might-be-hard-to-handle @tumblr.com ; avatar by Odistole @Bazzart. |
(UN) Il a pour seule et unique passion la musique. Il ne vit plus sans son violon entre les mains. Il est sûrement l’objet le plus précieux qu’il possède bien qu’il soit vieux et usé. Il vit à travers les mélodies de ses cordes, respire en harmonie avec son archet. La musique, c’est son souffle. La musique, c’est son âme. Et il préférerait plutôt mourir que d’arrêter un jour de jouer. (DEUX) Son livre préféré est une œuvre britannique : Alice’s Adventures in Wonderland et sa suite Through the Looking-Glass. C’est là le seul recueil qu’il possède et qu’il lit et relit encore sans s’en lasser. Il en connaît quelques passages par cœur et aimerait pouvoir se tatouer les premiers vers du poème Jabberwocky sur les côtes un jour. (TROIS) C’est un drogué. Il a commencé comme tout le monde, avec quelques joints. Mais bientôt, ça n’a plus eu vraiment l’effet escompté alors il est passé aux drogues dures – cocaïne, entre autres. Sa nouvelle lubie : l’héroïne. Aujourd’hui, elle marque sa peau fine et blanche, coule dans ses veines et embrume son esprit. Un jour, elle le perdra ; un jour, elle anéantira le reste de ses espoirs et des rêves encore à peine balbutiés. Mais il s’en fiche, il en a besoin. Il est prêt à tout pour une simple dose, même à s’abaisser aux pires ignominies. (QUATRE) Son penchant pour la drogue et son monde l’a conduit en prison pour trafic. Pendant cinq ans, il a été enfermé derrière des barreaux, à subit la violence et les humiliations de plus forts que lui. La bête sauvage, mise en cage contre sa volonté. Il a tenté de survivre dans ce règne animal, tenté de ne pas devenir le dernier maillon de la chaîne alimentaire. Mais, là-bas, au milieu des rats, il n’est devenu qu’une simple poupée désarticulée, tout juste bonne à passer de mains en mains. De maître en maître. Jusqu’à ce qu’un seul vienne le délivrer. (CINQ) Prisonnier, il a rencontré celui que l’on appelait Cerbère. Cet être mystérieux, toujours dans l’ombre à observer. Observer la vie de la prison. Il n’était au départ qu’un regard sur sa peau blanche, qu’un frisson le long de son échine. Les pupilles le faisaient trembler mais jamais il ne l’avait approché. Jusqu’à ce matin-là où tout a changé. Encore aujourd’hui, il ne sait pas pourquoi il est intervenu. Pourquoi il a sauvé sa misérable vie. « C’toi mon nouveau propriétaire ? » Quelque part, il l’espérait. Jusqu’au fond de ses tripes, il a eu envie de lui appartenir. Pour l’éternité. (SIX) Son péché mignon, c’est le sucre. Il a toujours adoré les gâteaux, les pâtisseries. Enfant, il dérobait les amaretti qui refroidissaient sur le rebord des fenêtres. Et si on lui donnait une petite pièce, il filait directement chez le pâtissier au coin de la rue et achetait une douceur pour alléger le goût amer sur ses lèvres. Il s’étonne encore de ne pas avoir les dents qui tombent une à une à force de laisser le sucre s’imprégner en lui. Il le sait, il sera moins beau avec un sourire édenté et on ne voudra plus de lui. (SEPT) Son bras gauche devient douloureux, de plus en plus souvent. Marqué par les piqures d’héroïne, sa peau diaphane semble se déchirer sous les aiguilles. Et le tremblement qui l’agite devient si fort qu’il ne contrôle plus ses mouvements. Il souffre, surtout quand il est en manque ; il souffre, surtout quand il joue trop longtemps. Mais il est obstiné et il continue. Encore. Toujours. Il ne s’arrête pas de jouer, même s’il lui fait mal en pleurer. À en crever. (HUIT) Son dessert préféré est la compote de pommes à la cannelle. Il a le goût de l’enfance perdue sur sa langue et la saveur sucrée des rêves pas encore sacrifiés sur l’autel de la réalité. C’est une tendresse sur son cœur amoché qu’il s’accorde quand il a besoin d’être consolé. Il a toujours ce petit sourire de gosse quand il hume cette odeur si familière qui ne lui rappelle pourtant rien de bien concret. Il aime juste la texture sur ses lèvres, le goût jusqu’à son estomac. C’est bon, la compote de pommes à la cannelle. (NEUF) Sa rancœur envers ce père de substitution, Gallerini, qui l’a abandonné ne cesse de croître de jour en jour. C’est comme si sa poitrine s’embrasait sous l’incendie dévorant de l’amertume. S’il en avait la possibilité, il se vengerait. Mais il a peur de le revoir, de le croiser à nouveau. Il a peur de redevenir cet enfant docile que Gallerini a élevé toutes ces années. Il ne veut plus de cette figure d’autorité ; il en veut une autre. Il le veut Lui, le Chien des Enfers. (DIX) Il se présente très souvent sous le pseudonyme de Bambino auprès des gens, comme un souvenir de ses jeunes années où il courrait ci et là dans les rues de la ville. Même si ce sobriquet le ramène inexorablement à un temps qu’il ne préfère pourtant pas se remémorer, il est aussi très représentatif de sa personnalité encore très enfantine malgré ses trente-trois longues années à errer dans ce monde. Parfois farceur, mutin, il ressemble un peu à ces elfes qui se jouent des êtres humains. ▲ INTITULE DU LIEN : une idée précise de ce que vous voudrez jouer. Donner des pistes au joueur qui vous demande un lien peu être utile et agréable donc n'hésitez pas.
▲ INTITULE DU LIEN : une idée précise de ce que vous voudrez jouer. Donner des pistes au joueur qui vous demande un lien peu être utile et agréable donc n'hésitez pas.
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 10:00 | |
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ROMY PASTORE Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | NEVAEH LUCE Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. |
PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. |
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 10:01 | |
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LEONE DUCCIO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | MANGIAFUOCO GALLERINI Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | GIOVANNI GAMBINO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. |
DIONISIO GAMBINO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | SALVATORE MANTEGNA Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. |
PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. |
PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. | PSEUDO Ici tu écris le résumé de ton lien. bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret. |
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 10:02 | |
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TOPICS EN COURS DE RÉDACTION TOPICS TERMINÉS/ABANDONNÉS season finale ▲ [url=URL]TITRE[/url] : Un bref résumé de votre contexte pour les intéressés qui veulent lire. cancelled premiere ▲ [url=URL]TITRE[/url] : Un bref résumé de votre contexte pour les intéressés qui veulent lire. ▲ w/ dio (à ouvrir). ▲ w/ who.
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Salvatore Mantegna
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 10:07 | |
| Moi je veux, et je veux quelque chose de bien tordu |
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 11:20 | |
| Un musicien des rues, un orphelin, je veux un lien j'ai des idées, mais pas encore le temps pour rédiger, je reviens ce soir |
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Invité
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 11:37 | |
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SALVATORE, oh ouiiiiii toi toi toi. JE TE VEUX AUSSI. (Enfin je veux un lien. ) Du tordu ! Génial ! Est-ce que tu as déjà une petite idée ou tu veux qu'on cherche ensemble ? Parle-moi un peu de ton beau gosse que je voie si quelque chose me vient. NEVAEH, oh comme elle est belle. Avec plaisir pour le lien, j'attends donc ce soir pour voir tes idées.
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Salvatore Mantegna
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 12:05 | |
| Comme ça je n'ai pas vraiment d'idée, mais on va trouver Alors alors, concernant Salvatore, il faut d'abord savoir que c'est un type assez horrible, il très exigent vis-à-vis de ceux qu'il côtoie. Il est fou aussi, ce qui fait de lui un homme assez imprévisible. C'est un homme à femmes, il ne peut pas s'en passer, les plaisirs de la chair sont sûrement la seule dépendance qu'il a avec son désir de pouvoir, car il est le fils aîné des Mantegna, celui appelé à remplacer le père, et il a véritablement hâte que ce moment arrive. Il ne touche pas à la drogue, ça le répugne. Il est bien trop fier pour se savoir dépendant de stupéfiants, d'ailleurs, il se dit qu'il n'en a pas besoin. Il trempe dans la direction de maisons closes et dans le trafic d'organes, il est impulsif, a horreur qu'on le pointe du doigt (il a déjà refait le portrait à quelqu'un pour ça ) Il aime les belles choses, et a souvent un comportement excessif. Il ne fait jamais les choses à moitié. Il est expert dans l'art de maquiller les meurtres, art qu'il a appris auprès du conseiller des Mantegna. Il est homophobe, macho à souhait et a une assez haute estime de lui |
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Leone Duccio
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 12:35 | |
| Je pose mes sales pattes PARTOUT sur toi |
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Invité
Invité
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 19:13 | |
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SALVATORE, eh bien eh bien quel personnage ! J'aime beaucoup ! Alors comme tu as demandé du tordu, j'ai eu une petite idée mais qui n'a encre rien de finalisé. Voilà : Salavatore peut avoir vu Icare dans la rue, soit alors qu'il était complètement défoncé, soit parce qu'il jouait de son violon. Soit parce qu'il était dans une position olé-olé avec un homme (il joue sur les deux tableaux mais je veux que ce soit un homme pour jouer sur le côté homophobe de Salvatore) dans une ruelle sombre. Je ne sais pas comment on en arriverait là mais j'ai pensé que Salvatore pourrait utiliser Icare. Pour récolter des infos ou je ne sais pas trop. Bref, le mettre à son service quoi. Icare ayant un besoin quasi-pathologique d'être au centre de l'attention des gens qu'il apprécie, Salvatore pourrait le mener en bateau et lui faire croire qu'il l'apprécie beaucoup juste pour obtenir un peu tout et n'importe quoi du gamin. Bien sûr il pourrait utiliser ses deux vices (le sexe et la drogue) un peu comme la carotte pour faire avancer l'âne tu vois ? Bon j'ai conscience que c'est fouilli itout mais dis-moi si ça t'inspire un truc or what. Sinon, on partira sur tout autre chose, ça me va aussi. LEONE, oh oui vas-y. Pose tes papattes toutes vilaines PARTOUT, PARTOUT sur moi. Je n'attendais que ça.
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Invité
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 19:36 | |
| L'ancienne meute de Nevaeh se droguait souvent, et eux aussi étaient musiciens, danseurs des rues. Je vois bien la petite Nev être allée vers lui il y a quelques années, lui avoir prit la main pour le guider vers sa famille, ou pour essayer de l'entraîner dans la danse, juste avec un sourire sans vraiment rien dire. A voir comment il aurait répondu, mais pendant quelques années ils auraient pu se croiser quand ils revenaient à Florence, et maintenant qu'elle est une poupée elle continue pourtant de venir dans la rue, à chercher de quoi danser, ils pourraient se tomber à nouveau dessus. |
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Salvatore Mantegna
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Lun 21 Sep - 19:41 | |
| Oh non j'adore ton idée, perfide comme il est, ce serait tellement style de Salvatore de mener Icare en bateau! Je pense que Salva aurait pu voir Icare dans la rue, écouter sa musique et se dire qu'un pion de plus sur son échiquier ne pourrait jamais être de trop S'il le voit dans une position olé-olé avec un homme, il aura juste envie de leur casser la gueule à tous les deux Mais oui, il pourrait très bien se servir de lui grâce à du chantage, plutôt pour le sexe, comme la drogue ne fait pas partie du marché des Mantegnas A voir où tout ça pourrait mener après |
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Invité
Invité
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Mar 22 Sep - 9:30 | |
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NEVAEH, oh j'aime l'idée ! J'aime ! Icare est le genre de personne à se laisser un peu entraîner dans tout et n'importe quoi so il se serait absolument laissé faire. Puis ils partagent deux trucs qu'il adore : la musique et la drogue. So. Je pense que Nevaeh et sa meute auraient pu être comme un refuge pour lui et sa musique, là où il pourrait laisser libre court à son imagination, sa passion. Avec eux, il est complètement libre. Nevaeh pourrait même danser pour lui ? Alors qu'il joue. Comme pour attirer les foules tout ça. (Un peu à l'image d'Esméralda. ) SALVATORE, en fait je serais prête à pousser un peu plus. Quand tu me dis que s'il le voyait avec un homme, il aurait envie de lui refaire le portrait j'ai bien envie de dire : okay let's do this ! (Non, je suis pas sadique avec mes persos, pas vrai.) En fait, ce que j'imaginais c'est qu'il tombe sur Icare avec un homme et laisse libre court à sa violence. Seulement plus tard, il commence à le revoir dans les rues, à comprendre qu'il peut lui être utile, tout ça. Que même s'il est gay (Salvatore utiliserait d'autres mots mais je suis bien élevée ) Icare peut lui servir. Et comme il aime les hommes, Salvatore n'aurait pas besoin de s'embêter à le respecter. Ou pas trop. Donc il pourrait genre jouer le chaud et le froid avec lui. Dès qu'il voudra quelque chose, il sera tout miel tout sucre mais le reste du temps, il pourrait traiter Icare comme un moins que rien, allant même jusqu'à le frapper ou l'humilier. Et il serait obligé de s'excuser (du bout des lèvres) pour remettre Icare en confiance (un peu) et obtenir ce qu'il veut de lui. Je ne sais pas trop si ça peut coller avec ton bonhomme ?
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Salvatore Mantegna
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Mar 22 Sep - 12:56 | |
| Ça pourrait en effet coller avec Salvatore Il serait dégoûté de lui adresser ne serait-ce que la parole, mais il a tellement un mauvais fond que faire tourner Icare en bourrique en étant un coup brutal un coup tout miel bein ça le prendrait presque naturellement. Il reviendrait vers lui à chaque fois qu'il ne peut pas utiliser ses hommes, par exemple, il pourrait demander à Icare de garder un œil sur la agissements des autres barons de la mafia, étant donné qu'Icare doit aller et venir dans la ville comme il veut |
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Mer 23 Sep - 21:12 | |
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SALVATORE, ça me paraît parfait tout ça. J'aime beaucoup ! Après, j'ai pensé aussi : est-ce que Salvatore pourrait voir un peu l'attachement qu'éprouve Icare envers Leone et essayer de s'en servir ? Je ne sais pas trop si ça peut t'intéresser, mais en savoir un peu plus sur le Leone pourrait-il servir à Salvatore ? J'imaginais qu'il pourrait poser des questions comme ça, l'air de rien, à Icare sur lui et ce qu'il trafique un peu dans son coin. Jusqu'au jour où Salvatore pourrait demander quelque chose d'assez gros à Icare concernant Leone (qui pourrait s'apparenter à une trahison pour Icare) et là, il refuserait clairement d'accéder à la requête de Salvatore qui, pour le punir en quelque sorte, pourrait en venir à se montrer violent envers lui ?
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Saskia Alighieri
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Sam 26 Sep - 16:41 | |
| Comment ça se fait que tu as mon Leone dans ton profil ? Moi pas d'accord et demander bataille du coup Je veux un lien mais alors l'idée n'est pas là encore, on cherche ensemble ? |
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Sam 26 Sep - 23:54 | |
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SASKIA, bon euh déjà let me get things straight : c'est mon Leone so il est dans mon profil si je veux. Sûrement que nous pourrions baser notre lien par rapport à ton lien avec Leone justement ? Si tu me parlais un peu de ta relation avec le sexy, je vais essayer de voir si j'ai une illumination.
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Saskia Alighieri
| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. Dim 25 Oct - 9:17 | |
| Leone c'est son mari Il le sait pas c'est tout mais il aime à la folie Saskia En fait c'est son enfant... son arme donc elle est presque tout le temps avec lui sauf qu'ils... que la relation entre eux est totalement conflictuelle. C'est la fusion de la haine et de l'amour un peu comme un père et une fille mais c'est encore plus complexe Oui en gros je réponds pas totalement à ta question mais c'est parce que je ne sais pas trop comment expliquer. Je viens de remarquer que ça fait un mois que je devais te répondre et... je suis désolée Du coup... Icare est du genre lui aussi à s'attacher aux malfrats ? Je vois bien une sorte de jalousie qui pourrait se développer si jamais les deux apprennent qu'ils sont attachés à Leone plus que de mesure. J'ai l'image du jouet (Leone) prit entre les deux, donc c'est un peu la guerre même si Saskia serait attachée à Icare, voudrait l'aider parce qu'elle veut prendre tout le monde dans ses bras et les rassurer Du coup c'est un peu compliqué pour elle, elle ne sait pas trop où elle en est avec Icare car elle aurait peur qu'il lui vole Leone. |
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| Sujet: Re: PETIT PANTIN DE CHAIR. | |
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