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 THE KILLING JOKE

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Leone Duccio

DATE D'INSCRIPTION : 02/08/2015
MESSAGES : 671


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MessageSujet: THE KILLING JOKE    THE KILLING JOKE  EmptyDim 16 Aoû - 11:52


LEONE MUZZIO DUCCIO
Would you love me if I didn’t hurt you so?



NOM : Duccio. Bâtard. Un Médicis laissé pour mort dans le caniveau. Pas crevé l'animal. ▲  PRÉNOM : Leone, griffonné sur un papier froissé. ▲ ÂGE ET DATE DE NAISSANCE : Les masques d'un carnaval vénitien. Février. 48 rafales, les douilles piétinées ▲  STATUT CIVIL : esseulé le colosse. aucune à qui la bague est donnée. pas de mariage. elles piaillent les curieuses dans son dos, cherchent à comprendre pourquoi il traine avec sa Solitude ▲ ORIENTATION SEXUELLE : les juvéniles. sauvagerie de l'acte. à dégueuler sur les corps. eux les infâmes. à préférer la solitude ▲ METIER : gouvernement. canon pour les commandeurs. mentor des petits. agent. mains grenats. cerbère. ▲SITUATION FAMILIALE : l'enfant à ses bras, princesse sanglante. paupières closes. morte. Une jumelle qui subsiste, un passé froissé ▲ TRAITS DE CARACTÈRE : protecteur, joue avec la vie, courageux, sens du devoir, enragé, loyauté fébrile, intellectuel, violent, arrogant, intuitif, jaloux, sans limite, extrême dans ses émotions, beau-parleur ▲ GROUPE : votre réponse ici  votre réponse ici ▲ CRÉDITS : tumblr

Le coeur qu'on croit absent. Tambour silencieux. Battements trop brefs. Déclaré mort plusieurs fois ▲ Le passé réside dans un objet, peluche d'une enfant perdue, lapin jalousement gardé dans une chambre intacte. Le souvenir de sa fille qu'il préserve ▲ Mémoire trouée. Des pertes. A ne plus savoir qui il est, pourquoi il est là. Le temps pour ennemi, une montre qui fonctionne à l'envers ▲ Bras encrés. Les entailles d'un suicide raté. Dérobés au regard ▲ Courses sauvages, fumée sur goudron, crissements de pneus. A jouer avec sa vie, avec celle des autres. Adrénaline constamment recherchée ▲ Le corps, une curiosité. les coutures sur les doudous, puis les petits animaux. soins bancals. pas d'études, des ouvrages, des connaissances ▲ Immunisé. Alcool sans effet, les verres s'enchainent, les liquides différents, la gorge brûlée. Aucun ressenti ▲ Une soeur dérobée, la jumelle enlevée pour les beaux palais. Aucun droit de parole. Les yeux se lèvent parfois. Cherchent la silhouette ▲Vie matinale millimétrée, calculée, rien n'échappe à la construction ▲ La violence pour amour, les corps jetés dans les dernières lueurs, à l'agonie qu'il les aime, émotions négatives. Colère, peur, hargne, défi ▲ Sept mois en cage. Sept mois pour contenir le fauve. Muselière. Drogue/pute/arme. Sevrage qu'ils disent. Idiots ▲ Les toiles des plus grands, à voguer dans les musées depuis enfant. La mère qui éduque, entraine le petit garçon aux Offices. Un amour pour l'art. Des heures à s'égarer dans les couloirs▲  

"Pseudo"
TON PSEUDO : votre réponse ici  votre réponse ici  ▲ TON ÂGE  : votre réponse ici votre réponse ici ▲ TON PAYS : votre réponse ici votre réponse ici ▲ TA FRÉQUENCE DE CONNEXION : votre réponse ici votre réponse ici ▲ COMMENT T'ES ARRIVÉ ICI ? votre réponse ici votre réponse ici ▲ TON AVIS SUR LE FORUM : votre réponse ici votre réponse ici ▲ UN COMMENTAIRE ? votre réponse ici votre réponse ici
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Leone Duccio

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MessageSujet: Re: THE KILLING JOKE    THE KILLING JOKE  EmptyJeu 20 Aoû - 17:31


LORD OF WAR
my name on the lips of the dead



MEMORIES FADE BUT THE SCAR STILL LINGER. « Pourquoi t’es perdu, le nez dans les livres de cuisine ? » demande le double, petite tête blonde qui se hisse sur un tabouret. La gourmande qui trempe un doigt dans la pate. « J’essaye de faire ce que t’aime bien, j’y arrive pas » Le doigt pointé vers les essais infructueux. Les cramés. Les tachés. Les pâtisseries dans un sac poubelle. Le nez tapissé de farine, les mains blanches, petit chimiste fou au milieu d’ustensiles dont il n’en connaît pas le tiers des intitulés. « Maman m’a montré hier, j’y arrive pas. j’ai tout respecté, ça marche pas » Dépité le petit qui baisse les épaules. Des années après. Adulte. Des dates anniversaires où il dépose la rose bleue. Une unique recette qu’il est capable de réaliser. Les cadeaux pour celle qui ne se souvient plus. Petra. Son double dévoré. Enlevée. Muzzio qu’il est pour elle. Un étranger.

BORN TO DIE. Course d’une enfant au travers des rues, un jeu instauré, un cache-cache géant où la petite se faufile entre les passants et court le père, surnommé dragon pour les péripéties d’une imagination débordante. Un périmètre ordonné. Elle déroge aux règles, elle prend la mauvaise, l’allée interdite, la dangereuse. Pas le temps de poser une main sur l’épaule. Enfant disparue à son regard. Appo qu’il appelle. Apollonia qu’il hurle soudainement. Un cri qui résonne au loin. La nuit qui éveille les chacals. Trop tard. Il court. Il se heurte contre la foule des brigands. La chute. Suffoque la princesse d’un corps perforé. Papa. Papa. Les petites mains qui s’accrochent. Des paroles qu’il chuchote, des mensonges. Canon à la main. Le BANG. Réveil en sursaut. Le corps emmêlé dans les draps. Sueurs. Hurlement qui résonne dans la maison. Personne pour calmer la terreur. Le cœur cogne, au désir de s’extirper. La peur. Les souvenirs. Leone tremble du passé. Les cauchemars nombreux. Jamais éteints. La fille arrachée. Des années à présent. Elle hante encore sa mémoire. Son enfant. 6H42. Sonnerie qu’il envoie contre le mur. Un de plus. Le sixième en deux semaines. Rituel du matin. Ne pas déroger. Que rien ne sorte d’un cadre de vie millimétré. Calculs nécessaires. Douche. Déjeuner. Café, deux. Costume passé. Toujours noir. Clés de voiture, arme. Cravate qui pend autour du cou. A nouer plus tard. Six verrous qu’il enlève et pose un pied sur le perron. Le corps qu’il ne remarque pas, manque d’écraser. L’odeur du sang qui prend, la reconnaissance, à trop côtoyer la mort. C’est le refus de regarder, de comprendre ce qui se trouve à ses pieds. Non. Croyance que si il ne regarde pas, ça n’existe pas. Juste un fantôme. Une œillade qu’il ose. Enfant suffoquant, baignant dans le grenat des vices d’un autre. Tachée de la mort. A genoux. Rapidité des gestes, corps emmené à l’intérieur, déposé sur la table. Les blessures comptées, mesurées. Pas de mot. Juste des gestes précis, le matériel qu’il trouve, les tissus qu’il enlève. Médical. « Tu bouges, tu meurs » Uniques paroles. Un robot qui agit. L’homme abandonné. Mécanique des gestes. Les plaies refermées. Sutures. Corps devenu coutures infâmes. Injection contre la douleur. Enfant endormie. Des heures qui s’affolent. Leone chute au sol.
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